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Après six ans sans album,, le dernier en date étant l'excellent Bang !, Thunder revient avec ce nouvel opus avec sur certains morceaux un côté très zeppelinien notamment sur l'intro du morceau titre, The Rain qui a un côté..........The Rain Song et I Love The Weekend qui lorgne du côté de Rock And Roll. Sinon, la musique du groupe tourne toujours autour de ce classic rock très racé et ce, grâce à des titres comme The Thing I Want, Black Water et When The Music Played. Bref un bon crà» qui montre à quel point, le groupe après maintes séparations puis reformations, est désireux de ravir son public. Pour ma part, je garde un excellent souvenir du concert à la Boule Noire. Je suis d'ailleurs allé les voir à l"Hammersmith Odeon que l'on appelle outrageusement aujourd'hui "Eventim Apollo".
[youtube]Eq0HsGnRBjE[/youtube]
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THUNDER : London, Hammersmith Eventim Apollo, 14/3/15
Pour tout amateur de la musique que l'on aime, assister à un concert à ce que l'on appelait jadis "l'Hammersmith Odeon" de Londres constitue en quelque sorte une sorte d'aboutissement compte tenu du prestige de cette salle.
Mme Phil avait tenu à m'accompagner dans cette aventure londonienne. Partis très tôt aux alentours de 5h du matin de notre domicile, nous arrivâmes à Londres en milieu de matinée. Avant le concert, nous avions prévu quelques petites pérégrinations touristiques comme un retour dans Portobello Road et son marché si pittoresque, pérégrinations entrecoupées d'un petit repas, ma foi fort sympathique (ça aussi, c'est aussi une forme de tourisme....) le quartier de Westminster puis le musée d'histoire naturelle avant de repasser devant l'Earl's Court o๠nous dégusterons un succulent repas libanais, l'Earl's Court qui n'a plus que quelques semaines devant lui puisqu'il est appelé à être détruit. :|
Puis donc direction l'Hammersmith au métro...........Hammersmith.....Lorsque nous arrivons face à la salle, l'effet est saisissant, la façade est sujette à divers reflets colorés passant du bleu au vert puis par l'orange. Il n'y a plus de file puisque tout le monde est pratiquement rentré. Le hall d'entrée donne sur le bar situé à gauche. Nous obliquons vers la droite pour atteindre le balcon supérieur. Installés dans des fauteuils ultra-confortables, nous apprécions la vue en direction de la scène qui est impeccable. C'est enfin un rêve qui se réalise de pouvoir admirer l'intérieur de cette salle mythique.
A l'affiche donc, Thunder qui s'offre deux premières parties, Tax The Heat et Reef, vient de conclure le leg UK à l'Hammersmith et ce, dans le but d'assurer la promotion de son dernier opus Wonder Days, un album au demeurant très attachant, mêlant ainsi des morceaux très pêchus et des titres plus intimistes.
Tax The Heat, composé d'excellents musiciens dont un guitariste-chanteur à la voix d'exception, met d'entrée le jeu le public de l'Hammersmith souvent exigeant dans sa poche et ce, grâce aussi à un set ponctué de morceaux que je trouve très accrocheurs. Suit ensuite Reef, un groupe originaire de Glastonbury qui avait eu un succès d'estime au milieu des années 90. Emmené par son volubile chanteur, Gary Stringer, le combo nous propose un show sans failles. Voici d'ailleurs la set-list pour les fans :
Just Feel Love
Come Back Brighter
Stone for Your Love
Lone Rider
Consideration
Place Your Hands
I Would Have Left You
Summer's In Bloom
New Bird
Naked
Yer Old
Tax The Heat
Reef
Quelques minutes plus tard, les lumières se ré-éteignent. En intro sur un écran de grande taille défilent des images sur lesquelles on peut reconnaître des artistes de grande notoriété comme Led Zeppelin, Black Sabbath, Deep Purple, Thin Lizzy, David Bowie mais également de grands hommes tels que Gandhi et Martin Luther King.
Le groupe investit la scène puis c'est parti pour un Wonder Days très zeppelinien au rythme syncopé mais terriblement efficace. Danny Bowles le chanteur, très en voix comme d'habitude d'ailleurs, a une curieuse façon de se mouvoir que cela en est même risible. River Of Pain, issu de l'album Behind Closed Doors paru en 1995, nous est présenté dans une version étonnamment puissante, servi, il faut bien le dire par un son parfait et des lights absolument étonnants. A ce niveau-là , rien n'est laissé au hasard à l'Hammersmith. Le titre, un classique du groupe soit dit en passant a toujours brillé par sa présence dans les différentes set-lists du groupe depuis sa sortie.
C'est au tour de Black Water de nous être proposés dans une version fidèle à celle qui figure sur Wonder Days enchaîné à un Resurrection Day de fort belle facture. Malgré la nouveauté de cet album, on sent le groupe déjà à son aise dans l'interprétation de ces deux nouveaux morceaux. Et c'est encore le cas sur Broken, une zolie ballade o๠notre ami Danny nous gratifie d'envolées presque lyriques (non, je plaisante...mdr). Puis, le single The Devil Made Me Do it, paru en 2006, offre à Bowes l'opportunité de faire participer le public très réactif, il faut bien l'avouer. Le contact est chaleureux et l'on sent bien que le vocaliste tient à faire durer ce petit jeu.
C'est aussi le moment que je choisis pour m'approcher de la rambarde qui surplombe la fosse.
Ensuite, nos cinq compères proposent un petit retour en arrière grâce à l'interprétation d'Empty City extrait de Laughing On Judgement Day, album paru en 1992 puis Backstreet Symphony le title-track de ce magistral premier album de 1990. A ce moment-là , l'ambiance monte encore d'un cran puisque deux types placés juste devant nous, se lèvent, gênant ainsi la plupart des spectateurs. L'un d'entre eux ira leur demander de se rasseoir. Ce qu'ils feront pour mieux se relever plus tard. I'll Be Waiting quasiment interprété à chaque fois, résonne dans l'enceinte londonnienne.
Retour sur Wonder Days avec le percutant The Thing I Want. Thunder a vraiment le talent pour mêler la mélodie avec le riff bien plombé le tout châpeauté par la voix superbe de Danny Bowes. Derrière, ça assure grave avec l'efficace batteur Harry James revenu de son échappée chez Magnum et l'implacable bassiste Chris Childs. "Tant qu'on est dans le percutant, restons-y", semble se dire le combo puisque When The Music Played encore extrait du nouvel opus, nous est envoyés en pleine face et ce, avec un son d'enfer. Vraiment une superbe interprétation.
Suivent le mid-tempo Love Walked In et I Love You More Than Rock'n'Roll, ces derniers titres avant le rappel permettant à notre Danny préféré de titiller une nouvelle fois le public chaud bouillant de l'Hammersmith qui réagit au 1/4 de tour. Emotionnellement, c'est très fort.
Il ne faut même pas 5 minutes pour que le groupe revienne sous les acclamations de l'assistance pour s'atteler à une excellente interprétation de Low Life In High Places. Puis reconnaissable entre mille, Higher Ground durant lequel Bowes laisse le public chanter a capella quelques phrases du refrain. Encore à ce moment-là , l'Hammersmith est sur le point de chavirer tant l'ambiance devient en un mot G-E-N-I-A-L-E !!!!!!!!!!
Le dernier morceau Dirty Love introduit longuement par Luke Morley donne l'occasion à Bowes d'aller le taquiner, ce dernier lui demandant quand le morceau allait démarrer....Il en profite donc pour haranguer le public.
Finalement, Dirty Love démarre après 2-3 minutes et là , et ce grâce toujours à ce son parfait, la version qui nous est servie, poutre sévère. Ca va bien durer 10 mn cette affaire-là !!!!!!! Le temps que le père Bowes fasse de nouveau participer le public londonien avec des "na na na" qui font résonner la vieille bâtisse. Tout s'emballe, c'est génial. Ah mince, je l'ai déjà dit. La communion entre notre Danny et le public est tout bonnement incroyable même si je l'avais déjà remarquée en 2007 lors de leur passage parisien à la Boule Noire. Ce type, c'est un véritable frontman...On oubliera, ceci dit, sa façon si particulière de se trémousser qui n'est pas toujours élégante. :mdr: :mdr: :mdr:
Le concert s'achève dans une ambiance enthousiaste.
Vraiment, un grand bonheur, ce show en ce lieu mythique qui avait revêtu ses plus beaux atours pour ce groupe vraiment talentueux. En témoignent les photos qui suivent :
Setlist
Wonder Days
River of Pain
Black Water
Resurrection Day
Broken
The Devil Made Me Do It
Empty City
Backstreet Symphony
I'll Be Waiting
The Thing I Want
When the Music Played
Love Walked In
I Love You More Than Rock 'N' Roll
Encore:
Low Life In High Places
Higher Ground
Dirty Love
[youtube]zgBn-KRGlaM[/youtube]
Nous quittons dans la froideur londonienne non sans regret l'HAMMERSMITH ODEON (je continuerai de l'appeler comme ça, n'en déplaise à ceux qui ne cautionnent pas) puis passons devant une autre salle mythique à savoir le Shepherd's Bush Empire.
Au fait, Thunder passe à Paris au Divan du Monde le 15 juin prochain pour 29.60 € Je vais me laisser tenter. :mrgreen:
Dernière édition de: Phil93 (25/03/2015 21:44:47)
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Super ton report! :drink:
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Génial
“Tout ce qui est excessif est insignifiant.”
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De la part d'un pote : "2 places peut-être 3 à vendre (25 € négociables) pour le concert parisien de ce soir."
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Possibilité d'une 3ème place à vendre. Me contacter en MP pour les coordonnées de la personne qui gère la vente.
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THUNDER : Paris, Divan du Monde, 21/11/15
Deux fois en huit mois que je vois nos amis de Thunder sur le Wonder Days Tour, la première ayant eu lieu le 14 mars dernier dans cette salle mythique qu'est "l' Hammersmith Odeon" (ça s'appelle autrement ???????) et la seconde donc au Divan du Monde en ce 21 novembre très frais, il faut bien l'avouer. Mes deux filles, désireuses de les voir enfin, accompagnent leur "vieux" père qui, avec le temps, est devenu totalement fan. Sinon, par rapport à ce qui s'était passé le vendredi 13 novembre, j'avoue ne pas avoir été serein au départ.
Reportée du 15 juin au 21 novembre suite à un coup de froid attrapé par Danny Bowes, le chanteur, la date parisienne menaçait une nouvelle fois d'être annulée suite aux attentats de la semaine dernière mais le groupe rassura tout le monde sur son Facebook en maintenant ce concert. Thunder n'était pas venu à Paris depuis 8 longues années o๠il s'était d'ailleurs produit non loin de là , à la Boule Noire pour être précis, délivrant un concert qui était resté bien gravé dans la mémoire collective.
The Amorettes, un trio de fougueuses Ecossaises, assuraient ce soir la première partie. Composé de Gill Montgomery à la guitare et au chant qui n'est pas sans rappeler physiquement Jody Turner de Rock Goddess, et des soeurs McKay (Heather à la basse et Hannah à la batterie), les trois donzelles nous assènent d'entrée de jeu leurs riffs assassins d'un hard rock très conventionnel mais très efficace avec en opener ce Fire At Will atomique suivi sans temps mort d'un Get What's Coming qui l'est tout autant.
Les titres percutants s'enchaînent sans répit et ce sont donc tour à tour les virulents Bull By The Horns, Give 'Em Hell, Son Of A Gun et Shoot From The Hip qui sont interprétés avec une fougue communicative, Gill n'hésitant pas à inciter le public parisien à se manifester ce qu'il fait d'ailleurs sans se faire prier.
Le set se termine sur Hot And Heavy, pas forcément marquant en termes de trame mélodique mais qui a le mérite, cela étant, de faire participer l'assistance. En ce qui me concerne, il s'agit d'une bien belle découverte qu'il faudra que je creuse au plus vite. Notre trio prend congé et ce, dans une ambiance survoltée, en faisant un selfie avec le public en arrière-plan o๠par chance, mes filles et moi sommes dessus.
Comme à Londres après la fameuse intro Thunderstruck d'AC/DC, Thunder démarre en trombe sur un Wonder Days de toute beauté, morceau-titre d'un album qui, comme je l'avais déjà écrit précédemment, se voulait être à consonance très zeppelinienne par certains côtés. Le son du groupe est très bon, parfois même un peu fort mais bon, nos cinq compères sont loin de produire une musique assourdissante. En témoigne cette magnifique version de Black Water très formaté "Zeppelin" qui satisfait pleinement nos deux membres de la "Vieille Garde 1973" (Michel et Patrick).
A l'issue de Black Water, le père Danny en profite pour prendre la parole afin de nous témoigner son soutien dans ces moments difficiles. "Paris est résistant et optimiste !!!! Et nous allons passer une très bonne soirée..." Un message qui m'a particulièrement touché.
Sous des lights bleu blanc rouge, le groupe interprète un River Of Pain très enlevé avec un Danny très en voix. Lui, par contre avec les années, il ne faiblit pas d'un point de vue vocal. Le groupe non plus d'ailleurs qui fait preuve d'un grand professionnalisme. Ben Matthews, le guitariste-claviériste, m'étonne tout particulièrement par son talent assurant avec brio la guitare rythmique et les parties de clavier. Discret parfois taquin et souriant avec Chris Childs le bassiste mais en tout point efficace et essentiel dans le dispositif Thunder.
Retour sur le dernier album en date avec des interprétations superbes de Resurrection Day et Broken, ce dernier titre étant, à mon humble avis, émotionnellement très fort. The Devil Made Me Do It issu de l'album Robert Johnson's Tombstone, constitue une superbe opportunité pour Danny de solliciter son auditoire que ce soit en l'interpelant de façon énergique ou bien en nous démontrant qu'il est un danseur "exceptionnel". Voir notre ami se trémousser, c'est quelque chose........................ :lol!: :lol!: :lol!:
Backstreet Symphony, un standard parmi les standards nous est servis dans une version particulièrement puissante, Luke Morley nous gratifiant d'un solo particulièrement inspiré. L'émotion revient au galop avec l'incontournable I'll Be Waiting, une superbe ballade o๠de nouveau, le père Danny s'illustre de fort belle façon. Une présence de scène rare pour un chanteur et un groupe qui, à mon avis, devraient jouer dans des salles beaucoup plus grandes.
Le morceau The Thing I Want est sans conteste le morceau que je préfère sur Wonder Days. Il est ici magnifiquement interprété dans une version particulièrement punchy qui pourrait presque supplanter la version studio. Danny fait durer le plaisir avec les "It's All Right".Tapi dans une ombre relative, Harry James martyrise sur ce titre son drum kit tel un fou furieux. Ca continue tambour battant sur When The Music Played un autre titre de Wonder Days qui, au cours de ce concert, sera représenté sept fois au cours de ce concert, chose assez rare aujourd'hui, ce qui dénote par conséquent que le groupe lui accorde un certain crédit et ose prendre des risques. Et ça, j'aime bien.
Ceci dit, il est impossible pour Thunder de faire l'impasse sur Love Walked In, une power ballade jouée à chaque concert suivie immanquablement de I Love You More Than Rock And Roll avec son final attachant o๠une nouvelle fois, le Danny vient taquiner le public qui bien évidemment répond présent.
Le groupe revient pour nous interpréter la surprise de la soirée à savoir Serpentine que pour ma part, je n'avais pas entendu à l'Hammersmith. Quelle version dynamique o๠les cinq Anglais font preuve d'une réelle cohésion.
Après une longue intro guitaristique de notre ami Luke durant laquelle Danny exhorte le public à se manifester encore plus bruyamment, les Amorettes font une apparition afin d'assurer les choeurs hyper complexes à retenir de Dirty Love ("na na na na na na...."). En résulte une version absolument éblouissante qui conclut avec maestria ce concert parisien très attendu et qui, au final, a comblé toutes les attentes de ceux et celles qui sont venus les voir.
Elle a bon goà»t, la donzelle....
Dernière édition de: Phil93 (24/11/2015 08:18:49)
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Super report photo :app::app:
Prix Janick Gers 2015 & prix Eddie 2016
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Super report ! Merci Phil
« N'écoutant que son courage, qui ne lui disait rien, il se garda d'intervenir. » - Jules Renard
--- Prix Steve Harris 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021 --- merci, merci !!!
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LP
En écoute le nouveau live de Thunder intitulé Stage. Tout ce qui est estampillé "Thunder", j'achète de toute façon. Thunder, c'est assurément la certitude de passer un excellent moment. Enregistré sur la tournée Rip It Up (que j'ai vue à la Maroquinerie) dans une grande salle (celle de la Motorpoint Arena à Cardiff le 24 mars 2017), ce triple live, format vinyle, nous présente un show bien huilé où l'on retrouve bien évidemment les classiques que sont Backstreet Symphony, Higher Ground, Love Walked In, I Love You More Than Rock 'n' Roll et Dirty Love augmentés de titres issus des albums les plus récents comme Wonder Days et Rip It Up. Produit de façon irréprochable, ce live capte une prestation généreuse du groupe qui se fait plaisir mais surtout qui fait plaisir à ceux et celles qui les suivent depuis un certain nombre d'années. A conseiller vivement pour les die-hards.
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Impression mitigée après une 1ère écoute de Dopamine....
Dernière édition de: Phil93 (30/04/2022 18:14:50)
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Séance de rattrapage pour ceux qui seraient passés à côté de ce groupe talentueux...
BMG rééditera "Backstreet Symphony", "Laughing On Judgment Day" et "Behind Closed Doors" de THUNDER le 28 avril.
Tous les trois seront disponibles en double vinyle de différentes couleurs, CD digipak et format numérique avec des raretés et des titres inédits.
“Backstreet Symphony”
She’s So Fine
Dirty Love
Don’t Wait For Me
Higher Ground
Until My Dying Day
Back Street Symphony
Love Walked In
An Englishman On Holiday
Girl’s Going Out Of Her Head
Gimme Some Lovin’
Distant Thunder
She’s So Fine (Live at Marquee London, 2002)
Until My Dying Day (Live at Marquee London, 2002)
Gimme Some Lovin’ (Live at Nottingham Rock City, 2008)
“Laughing On Judgement Day”
Does It Feel Like Love?
Everybody Wants Her
Low Life In High Places
Laughing On Judgement Day
Empty City
Today The World Stopped Turning
Long Way From Home
Fire To Ice
Feeding The Flame
A Better Man
The Moment Of Truth
Flawed To Perfection
Like A Satellite
Baby I’ll Be Gone
A Better Man (Live at Shepherd’s Bush Empire London, 2005)
The Moment Of Truth (Live at Nottingham Rock City, 2011)*
Like A Satellite (Live at Shepherd’s Bush Empire London, 2007)
*Seulement sur le vinyle
“Behind Closed Doors”
Moth To The Flame
Fly On The Wall
I’ll Be Waiting
River Of Pain
Future Train
‘Til The River Runs Dry
Stand Up
Preaching From A Chair
Castles In The Sand
Too Scared To Live
Ball And Chain
It Happened In This Town
In A Broken Dream (Live at Club Citta Japan, 2000)
Stand Up (Live at Shepherd’s Bush Empire London, 2005)
‘Til The River Runs Dry (Live at Nottingham Rock City, 2005)
Preaching From A Chair (Acoustic at Tackle Out Studio Hove, 2019)
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Thunder – Deux albums “Live” en 2024
Le premier du duo, Live At Islington Academy, capture le groupe basé dans le sud de Londres pendant le cycle de tournée de leur huitième album studio, Robert Johnson’s Tombstone.
Le quintette avait déjà effectué un long tour au Royaume-Uni pour promouvoir le disque lorsqu’il a été contacté par Planet Rock Radio (Royaume-Uni) au sujet de la possibilité de jouer un set devant un public en direct lors de la première fête de Noël annuelle de la station. En tant qu’amateurs de divertissement les plus dévoués, comment Thunder pourrait-il dire non ?
Seulement 800 fans chanceux ont eu l’opportunité de voir Thunder se produire à la fête de Noël de Planet Rock le 19 décembre 2006.
Live At Islington Academy tracklisting:
CD:
“Loser” (Vinyl Side A)
“River Of Pain”
“The Devil Made Me Do It”
“Low Life In High Places” (Vinyl Side B)
“Robert Johnson’s Tombstone”
“You Can’t Keep A Good Man Down”
“Love Walked In” (Vinyl Side C)
“Backstreet Symphony”
“I Love You More Than Rock ‘N’ Roll”
“Dirty Love” (Vinyl Side D)
Live At Leeds tracklisting:
CD1:
“Wonder Days” (Vinyl Side A)
“River Of Pain”
“Black Water”
“Resurrection Day” (Vinyl Side B)
“Broken”
“The Devil Made Me Do It”
“Empty City” (Vinyl Side C)
“Backstreet Symphony”
“I’ll Be Waiting”
CD2:
“The Thing I Want” (Vinyl Side D)
“When The Music Played”
“Love Walked In”
“I Love You More Than Rock ‘N’ Roll” (Vinyl Side E)
“Low Life In High Places”
“Higher Ground”
Le deuxième album live, Live At Leeds, était une affaire plus officielle, enregistré neuf ans plus tard, le 3 mars 2015, dans le cadre d’une tournée de trois dates dans les arènes en soutien à Wonder Days, l’un des meilleurs disques studio de la carrière de Thunder.
Dans les pages du magazine Classic Rock, le regretté grand journaliste Malcolm Dome a déclaré que Wonder Days était “un rappel massif que la classe est à la fois intemporelle et incandescente”.
La tournée qui en a résulté a été plus courte que les randonnées traditionnelles du groupe car elle a marqué les premières étapes de la réhabilitation publique de Ben Matthews, le guitariste rythmique et claviériste qui était en convalescence d’un cancer de la gorge. Sans surprise, ces spectacles étaient chargés d’émotion tant pour le groupe que pour le public.
Les deux concerts, Live At Islington Academy et Live At Leeds, sont une preuve supplémentaire des prouesses de Thunder en tant qu’artistes live. Et maintenant, vous pouvez enfin revivre l’expérience.
Le 26 janvier, les deux concerts seront disponibles sur CD, vinyle, ainsi qu’en téléchargement numérique et en streaming.
Thunder est un groupe de rock britannique formé à Londres en 1989. Le groupe est composé de membres talentueux et charismatiques qui ont créé un son unique, combinant des éléments de hard rock, de blues et de rock classique.
La formation originale de Thunder comprend le chanteur Danny Bowes, le guitariste Luke Morley, le guitariste principal Ben Matthews, le bassiste Mark “Snake” Luckhurst et le batteur Gary “Harry” James. Leur premier album éponyme, “Backstreet Symphony”, sorti en 1990, a immédiatement attiré l’attention avec des singles tels que “Dirty Love” et “Love Walked In”.
Leur musique était à la fois mélodique et puissante, avec la voix caractéristique de Danny Bowes et les solos de guitare de Luke Morley.
Au fil des années, Thunder a sorti plusieurs albums acclamés par la critique, notamment “Laughing on Judgement Day” (1992), “Behind Closed Doors” (1995) et “Wonder Days” (2015). Le groupe est réputé pour ses performances live énergiques et passionnantes, captivant le public avec leur présence scénique et leur musicalité exceptionnelle.
Thunder a connu plusieurs pauses et réunions au cours de sa carrière, mais ils ont toujours réussi à conserver leur son distinctif et à rester fidèles à leurs racines rock. Leurs chansons abordent souvent des thèmes de la vie quotidienne, de l’amour et des relations, avec des paroles sincères et mélodieuses.
Stay Tuned
@Doc Olivier
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