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Découverte d'un groupe vraiment talentueux hier soir à la Fête de la Musique. Outre les reprises un peu obligatoires comme Metallica (dont ils sont grands fans), AC/DC, Led Zeppelin, Nickelback, Deep Purple, le combo créé en 2012, nous a proposés des compositions personnelles d'excellente facture dont un Faceless Heroes très percutant.
Le groupe est composé du très volubile Nicolas qui est doté d'un chant très puissant, de Patrick à la basse, discret mais efficace, Julien, guitariste émérite qui, de par ses interventions, sait toujours étoffer le morceau de façon élégante, de Thomas, également guitariste très talentueux qui compose la plupart des morceaux du groupe.
Ce sont déjà des artistes chevronnés puisqu'ils ont déjà rempli certaines salles parisiennes comme la Scène Bastille, la Boule Noire, le Batofar, l'Alhambra, le Divan du Monde et même le Bataclan.
Ils ont obtenu le prix du meilleur show Emergenza 2013 attribué par des pros, effectué une tournée en 2014. D'autres concerts vont venir et un EP est en cours d'enregistrement. Vivement un album !!!!!!!
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Message du groupe :
"Nous avons pris un peu de retard pour la sortie de l'EP.
Il nous reste encore du travail concernant le mixage.
Nous espérons le sortir pour la rentrée de Septembre.
On vous tient au courant.
Pour vous faire patienter, un aperçu de la pochette en exclusivité...."
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RASPY JUNKER : World Of Violence
Raspy Junker établi sur la région parisienne, on le sait, voue une admiration sans limites pour Metallica. Un premier EP intitulé Board The Junker (que je ne possède pas encore et qu'il faudra que je me procure au plus vite) qui sort fin 2015, confirme cette tendance. Et cela transparaît encore plus sur ce tout premier album intitulé World Of Violence paru il y a à peine deux mois que les les titres délivrés ici au nombre de 10 nous proposent un heavy metal, ma foi, très inspiré des Four Horsemen notamment sur les très percutants Defeat Your Dread, The Dark Ride, Motorheart Rising (le passage reggae est au passage particulièrement délicieux). Lorsque l'on écoute cet opus, l'impression qui en ressort est la suivante : World Of Violence, fort bien produit, semble être l'oeuvre d'un groupe chevronné qui a "roulé sa bosse" pendant de nombreuses années alors qu'au contraire, nous avons affaire à de jeunes loups désirant par tous les moyens imposer leur musique mêlant à la fois riffs incisifs et ballades accrocheuses (Paula en étant la parfaite illustration).
Se dessine véritablement un talent de composition chez ce groupe ô combien prometteur notamment sur Sound Of Bullets au demeurant efficace à souhait. Nicolas Lory dont le timbre vocal n'est pas sans rappeler celui du grand James, nous délivre de véritables prouesses vocales, épaulé qu'il est par ses trois autres compères, le redoutable Patrick Stefanovic à la basse, l'infatigable Cédric Mariolle à la batterie et l'incisif Thomas Noorman à la guitare qui se connaissant bien, font preuve d'une cohésion remarquable tout au long de ces 51 minutes pur bonheur. Du pur bonheur oui, lorsque tout ce petit monde se prend à mêler avec un talent non dissimulé dans le même morceau des passages d'une violence rare à d'autres plus tranquilles. Ca semble être la marque de fabrique du quatuor qui, de toute évidence, semble nous dire qu'il ne va pas s'arrêter en si bon chemin. Je l'espère vraiment pour eux car depuis que je les ai découverts à la Fête de la Musique en 2015, je n'ai cessé sur le net de visionner leurs vidéos live et de porter une écoute attentive aux morceaux qu'ils proposaient. Le groupe va franchir un cap, j'en suis certain. Et je serai là pour les soutenir...
[youtube]3b0lIlNgdgQ[/youtube]
https://www.facebook.com/RaspyJunker/vi … 327055392/
https://www.facebook.com/RaspyJunker/vi … 090447549/
Dernière édition de: Phil93 (10/12/2017 11:35:20)
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Concert Heavy Metal au Bifröst à Rouen le 20 janvier
Raspy Junker :
La tournée "Violence Tour" fait escale à Rouen pour la sortie du premier album : World Of Violence.
Des riffs puissants et un son heavy, une voix grunge et musclée, voici l’univers de Raspy Junker, groupe de Heavy Metal français.
Au croisement de leurs influences passant de Metallica à Alice in Chains, le groupe délivre une énergie scénique communicative depuis fin 2012.
https://www.facebook.com/RaspyJunker
Snake Pit :
Groupe de reprise de Metallica, le groupe californien légendaire.
Suite à la sortie de leur album éponyme, surnommé le « black album », Metallica, a assuré une tournée mondiale légendaire sur une scène baptisée « le diamant » au vu de sa forme. Cette scène disposait en son cœur du « Snake Pit » (fosse aux serpents), ainsi dénommé par les fans, et qui leur permettait d'être au plus proche du groupe lors des concerts. C'est donc du nom de cet endroit fort de sens que le groupe a choisi de se baptiser.
https://www.facebook.com/SnakePitMetallica/
Scariff :
Partant à la base d'un projet solo et après un an et demi de travail et de rencontres auprès de musiciens qui partagent le même état d'esprit, le groupe SCARIFF voit enfin le jour.
Créé en 2017, le groupe au style Rock/Métal base ses influences sur des groupes comme : Seether, Rev Theory, Three Days Grace, Nickelback, Stone Sour...
Leur premier EP "Resurrection" est sorti le 13 septembre, et a lancé la grande aventure du groupe.
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RASPY JUNKER : Bad Queen (2023)
Il ne me manquait que cet album de Raspy Junker pour compléter la discographie du groupe. Je reconnais avoir hésité à me le procurer au moment de sa sortie craignant d'être déçu par la prestation de la nouvelle chanteuse Nathalie Aranda. Mal m'en a pris car en termes de chant, nous avons affaire à une véritable guerrière en particulier sur Start A Revolution et Snake Eyes dont la trame efficace vous clouera littéralement sur place. D'entrée de jeu, le ton est donné : les riffs assassins assénés par Thomas Noorman et Loïc Lauret pleuvent de toute part. Hypnotized lui débute sur un mid-tempo fort bienvenu emporté par la voix tantôt enjôleuse tantôt révoltée de Nathalie contrastant avec un Battle Cry qui, lui sur un tempo pachydermique à la Sad But True de qui vous savez, fait son p'tit effet en vous envoyant en pleine face des riffs qui ressemblent davantage à des banderilles qu'à tout autre chose. Les guitares sont emportées par l'enchainement des décibels qu'elles provoquent tandis que le refrain quant à lui, ne vous sortira pas de la tête de sitôt après son écoute. Il y a comme ça des titres qui vous accrochent dès la première écoute.
Puissant, très heavy et efficace à souhait, le morceau-titre, Bad Queen donc, emmené par la terrible et percutante prestation de Cédric Mariolle derrière les fûts et la voix quasi hystérique de Nathalie nous fait sentir à quel point le groupe éprouve le besoin de composer des morceaux originaux en mode rouleau compresseur tout en ne perdant pas de vue leur motivation première : "Du riff, toujours du riff, rien que du riff !!!!!!!"
We Are Rising et son ambiance acoustique jalonnée de jolis arpèges distillés par les deux six-cordistes, un titre chapeauté par la voix chaude et veloutée puis rageuse d'une Nathalie impressionnante en tout point (une maîtrise vocale étourdissante), nous offrent une mini-trève trêve avant la déflagration infernale incarnée par Deserter, un titre sans concession qui remet les pendules à l'heure, une composition sur laquelle Thomas et Cédric se font véritablement plaisir en lâchant des riffs particulièrement destructeurs. Pour faire court, on tire à vue sur tout ce qui bouge.
On poursuit sur Alive, une bien jolie 'power ballad' qui met en exergue tout le talent de composition de nos ami(e)s. Riff entêtant jusqu'à l'addiction, voix envoûtante et solo ciselé d'extraterrestre, tels sont les ingrédients savoureux qui figurent au menu de cet excellent et captivant titre.
J'ai parlé précédemment de "tir à vue". Cela se confirme sur l'apocalyptique Dog Fight au rythme lancinant qui, disons-le tout de go ne fait pas dans la dentelle. En effet, ce sont littéralement des rafales de riffs de six cordes qui s'abattent sur vous et ce, sur fond de section rythmique vrombissante à souhait.
L'album enregistré au Sonic Drive Studio et produit impeccablement par Jon Symons s'achève sur ce Poison parcouru d'ambiances aussi variées les unes que les autres dont le point d'orgue se situe au niveau de ce solo de guitare savamment distillé avec une subtilité et un feeling fort bienvenus. Les guitaristes apprécieront goulument ce magnifique exercice de style.
Autant dire qu'après une première écoute de cet album, vous n'aurez qu'une seule envie : c'est de le réécouter afin d'y déceler de nouvelles subtilités car cet opus d'excellente facture en recèle à coup sûr.
Aujourd'hui, c'est Harry, doté d'une voix puissante qui a remplacé la belle Nathalie partie pour d'autres projets qui lui tiennent à coeur. Ce que l'on peut souhaiter au groupe, c'est de se remettre au travail pour espérer un 3ème effort tout aussi réussi que World Of Violence et Bad Queen. En attendant, allez les voir s'ils passent près de chez vous, vous ne serez pas déçus.
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Message du groupe :
:camera_with_flash::fire: La fête de la musique en image ! :fire::camera_with_flash:
Pour la deuxième année consécutive, le photographe Zoubair était avec nous place Saint-Michel, au cœur de la tempête.
Il a capté l’énergie, les regards, la sueur, la foule — bref, l’âme de Raspy Junker en live :metal:
Un immense merci à lui pour son œil affûté et sa fidélité :pray:
On est fiers de partager ces souvenirs avec vous tous.
:mailbox_with_mail: Et si vous avez vous aussi des images de ce moment de feu, envoyez-les à raspyjunker@gmail.com !
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Merci pour le report et les photos phil
Dernière édition de: sergent eddie (30/06/2025 16:28:03)
"born to lose, lived to win"
"nous sommes tous des enfants d'immigrés.1ère, 2ème,3ème génération" BXN
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