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Aujourd'hui malgré le froid un peu piquant, petite balade de 15 bornes en vélo.
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RANDONNEE NATURE Boissy-L'Aillerie (95), 2/2/25
Il en fallait du courage pour affronter les rigueurs hivernales de la campagne vexinoise car ce matin-là, le thermomètre affichait des températures négatives. Néanmoins, ce n'était pas ce léger contre-temps qui allait dissuader les neuf Drôles, emmenés par le sémillant et jovial Alain R. de parcourir les 17 kilomètres en SIAM qui les attendaient et ce, sur un dénivelé cumulé de 365 m. Raisonnable en soi car dans des précédentes escapades, nous avions connu bien pire.
Partant de la jolie gare de Boissy l'Aillerie, une gare à l'ancienne au charme certes un peu désuet mais qui a le mérite d'attirer l'oeil, nous entamons notre périple dominical dans ce Vexin que je connais bien car j'y ai, il y a de cela de nombreuses années, arpenté cette superbe région en vélo. Ce Vexin que j'aime tant, nous offre sur un fond de ciel bleu des paysages de toute beauté, parés de blanc avec des luminosités absolument magnifiques.
Sans difficulté aucune, observant un rythme de marche particulièrement alerte, nous atteignons cette charmante localité qui porte le nom de Montgeroult. Celle-ci abrite un superbe château, haut lieu de résidence de la marquise Hélène de Montgeroult qui fut une grande admiratrice de musique classique via une prédisposition pour la pratique du "piano-forte". Noble de son état, elle ne dut son salut pendant la Révolution Française qu'en interprétant La Marseillaise face à un Tribunal Révolutionnaire pour le moins dubitatif. Mazette, quel courage !!!!!!!
Non loin de là, une église imposante, malheureusement close, se dresse majestueusement devant des Drôles hébétés, certes en effectif réduit mais tout aussi admiratifs devant ce joyau de l'art gothique-Renaissance. Un véritable lieu de paix et de sérénité, cette bonne vieille bourgade de Montgeroult qui dans l'enfilade, cède sa place à Courcelles sur Viosne qui n'a rien à lui envier en termes d'esthétisme. En effet, à son actif, l'on note la présence d'un moulin ou plutôt une minoterie dont une partie particulièrement massive, aurait été bâtie sous Louis XIII. A proximité, un autre château, celui de Courcelles tout aussi élégant que le précédent, lui fait fièrement face. Certains Drôles, avides de prises de risque, iront même jusqu'à se hisser au dessus du portail pour prendre une photo. Je n'en dirai pas plus mais j'ai les noms. lol.
Il est temps de reprendre expressément notre marche, l'ordre de départ ayant été intimé par un Alain plus déterminé que jamais. Après avoir passé la vallée verdoyante d'Ableiges, nous rejoignons la mythique Chaussée Jules César jalonnée de croix monolithiques millénaires telles celle de Labathe qui a pour particularité d'être pattée et taillée dans un calcaire du Lutétien. Nous ferons notre halte culinaire près de la très jolie Croix de Justice où Maîtres Alain et Christian réchaufferont les coeurs éprouvés avec pour l'un, un petit apéritif, ma foi, ô combien bienvenu et pour l'autre un rhum arrangé fort goûtu. Quoi de plus réconfortant pour remettre en selle nos courageux randonneurs pour ce qu'il leur reste à parcourir.
Les pavés de la Chaussée ont tous disparu laissant place à un chemin de randonnée étroit parfois difficilement praticable compte tenu des pluies diluviennes qui se sont abattues sur la région mais à mesure que nous progressons celui-ci se mue en un chemin pierreux tout à fait convenable.
La Chaussée Jules César, nous la quittons à regret en direction de Boissy l'Aillerie en fait non, puisque notre guide du jour nous fait effectuer une boucle de presque 2 km qui contourne la ville pour ensuite regagner la charmante halte ferroviaire de Boissy l'Aillerie où sont garées nos voitures. Malgré le froid qui, au départ, nous a quelques peu saisis, cette escapade fut en tout point revigorante, conviviale et magnifique. Merci à Alain R. et à vous tous, fidèles marcheurs, qui, quelles que soient les conditions météorologiques, répondez présents pour ce genre de périple.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Piano-forte
L'église de Montgeroult.
Le château de Montgeroult.
Le moulin de Courcelles sur Viosne.
Le château de Courcelles sur Viosne.
Une rencontre insolite.
La Croix Labathe.
La Chaussée Jules César.
Une autre rencontre insolite.
Croix Justice.
L'Axe Majeur de Cergy-Pontoise au loin.
L'église de Boissy l'Aillerie.
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Belle balade et jolies photos
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Sympa les photos et la balade
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"nous sommes tous des enfants d'immigrés.1ère, 2ème,3ème génération" BXN
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Magnifique, la France que j'adore
Prix Steve Harris 2010, 2012 et 2022 !!
Prix Bruce Dickinson 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022 !!
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RANDONNEE NATURE Fontainebleau, 16/2/25
Je ne sais pas vous mais la forêt de Fontainebleau m'inspire à la fois esthétisme et mystère. Esthétisme par la diversité de sa végétation et son relief ainsi que mystère et ce, à cause de certaines légendes très vivaces comme celle de la Dame Blanche mais aussi par certaines tragédies qui s'y sont déroulées comme en 1944 l'assassinat du résistant Georges Mandel à qui un imposant mémorial fut dédié le long de la RN7 et en 1988 le meurtre resté impuni des "Fiancés de Fontainebleau". On dit même que leurs spectres hanteraient les lieux...
Bref, ça fait froid dans le dos et c'est dans cet environnement à la fois magique et obscur que les Drôles, estimés à une bonne trentaine de personnes et dirigés pour l'occasion par un Christian G. déterminé (comme toujours, oserais-je dire), s'aventurent dans un périple long de 19 km en SAM avec ceci dit très peu de dénivelé, périple dont le départ se situait au carrefour du Rocher des Princes. Les Drôles, princes et princesses de la forêt ? Sans aucun doute car ceux-ci étaient partis pour braver les rigueurs hivernales du labyrinthe bellifontain. Quant au temps, celui-ci affichait une fraîcheur quelque peu saisissante mais fort heureusement, un soleil généreux allait nous accompagner tout au long de cette escapade.
Au tout début, le rythme observé s'avère, autant le dire, être correct. Notre parcours ne présente pas alors de difficultés majeures tant et si bien que nous progressons assez vite. De temps à autre, certains s'arrêtent pour contempler le paysage qui s'offre à eux, un paysage qui soit dit en passant déploie de superbes couleurs et ce, magnifiées par les rayons du soleil qui se faufilent entre les arbres.
La forêt de Fontainebleau, ne l'oublions pas pour autant, ce sont aussi ces rochers imposants aux formes si singulières qui impressionnent et qui sont l'objet d'un débat passionné :
"-On dirait un visage d'enfant !!!!!!
-Meuh non, c'est une femme !!!!!!
-Si si, regarde comme il a les traits fins !!!!!!!
-Un caillou, avoir les traits fins, mais n'importe quoi, toi, en tout cas, tu as "fin" d'imagination.....
En attendant, malgré ces gros CAILLOUX (:lol:), cette forêt, pour le dire "fin"ement, avait accueilli il y a fort longtemps ("à la louche", 40000 ans), des populations nomades qui s'y étaient installées mais uniquement en périphérie, la jugeant peu sure.
Nous poursuivons sur la route du Belvédère qui comme son nom l'indique, nous permet d'admirer un superbe panorama de cette étendue verdoyante où se mêlent tantôt des feuillus tantôt des conifères à tel point que par certains endroits sablonneux, nous avons l'impression d'être dans les Landes. Comme dépaysement, il n'y a pas mieux.
Aux alentours de 12h27 (oui, je sais, c'est précis mais le Chef avait prévu d'arriver sur le lieu du pique-nique à cette heure-là), les Drôles, après avoir franchi un petit raidillon pas bien méchant, atteignent le très joli site du Rocher Fourceau où saisis d'un froid particulièrement glacial, ils tentent de se réchauffer avec une soupe, un plat chaud (des pâtes ou des noodles feront l'affaire) ou bien encore un bon café suivi d'un rhum arrangé revigorant proposé par Christian. Un temps de convivialité bien mérité, non ?
A 13h37 précises, sous l'oeil averti de notre bien-aimée Présidente, le Chef, muni de son sifflet légendaire (non, je plaisante
) rameute les troupes alors en phase de digestion de canelés et de nounours en chocolat "Lutti". Pour certain(e)s qui "trainent la patte", ce fut plus dur que d'autres. Par conséquent, animé par une certaine éthique, je ne m'autoriserai pas à divulguer le nom de ceux et celles qui, gourmand(e)s de leur état, se dissimulaient subrepticement derrière l'un de leurs compagnons d'armes pour engloutir goulument leur petite confiserie.
Même sous la torture, je ne dirai rien.
Alors qu'il ne nous reste peu de kilomètres (8, me semble t-il), devant nos yeux émerveillés notamment à la vue du magnifique et impressionnant aqueduc de la Vanne, les Drôles, courageux et vaillants, comme à leur habitude, ne rencontrent aucun écueil particulier, leur permettant ainsi d'admirer à perte de vue des hectares de feuillus et de pins qui cèdent la place de temps à autre à de magnifiques clairières rebaptisées au XVIIème siècle "carrefours" (s'y tenaient sans doute il y a fort longtemps des "supers marchés", en tout cas, on vérifiera ) comme par exemple celui de la Mare d'Episy, situé sur la très belle Route des Ifs où il n'y a pas âme qui vive.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Aqueducs_ … t_du_Loing
Nous passons ensuite le très connu carrefour de la Croix du Grand Maître où certaines règles de sécurité nous sont rappelées au moment de traverser la D301. En une petite demi-heure, nous avalons d'un pas assuré (et ce, malgré la fatigue qui est bel et bien présente) les derniers kilomètres qui nous séparent du parking du Rocher des Princes, là où sont garées nos voitures. Le soulagement se lit alors sur les visages durement éprouvés par le chemin parcouru.
Malgré cela, ce fut une bien jolie randonnée dans cette forêt royale pour les Princes et Princesses que nous sommes (allez, oui, n'y allons pas par quatre chemins, on peut le dire voire le crier à gorge déployée). De plus, ce fut un périple mené tambour battant par un Christian G. dont on peut souligner l'organisation rigoureuse et parfaite, un Christian que je remercie également et chaleureusement pour les moments de convivialité inoubliables qui nous permettent pour quelques heures de mettre le quotidien entre parenthèses. Et là, ça fait vraiment du bien !!!!!!!!!! :cheers: :cheers: :cheers: Vivement la prochaine !!!!!! :cheers: :cheers: :cheers:
L'arrière du château de Fontainebleau.
L'aqueduc de la Vanne.
Une victime de la route.
La Croix du Grand Maître.
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Sympa phil
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PANAMEE, Paris, 17/4/25
La Panaméenne, c'est quoi au juste ? Bah voilà, en fait, il s'agit en fait d'une balade nocturne mensuelle dans Paris avec un thème qui a été choisi par les organisateurs à savoir la FFR (Fédération Française de Randonnée) et ce, sur 7.5 km. Je n'ai pas évalué le nombre de personnes mais là, comme ça à la louche, j'aurais peut-être dit entre 300 et 400 personnes. Effectuer sur ce que l'on peut appeler une "randonnée" à Paris exige des normes de sécurité beaucoup plus strictes compte tenu de la circulation parisienne.
Le rdv est donc fixé à 19h près du Musée d'Orsay, ancienne gare ferroviaire d'Orsay soit dit en passant. La majestueuse et grande horloge est toujours là et c'est très bien comme ça. Direction l'église de St Germain l'Auxerrois. où nous attend une horloge dite "royale". Impressionnant ce flux de personnes qui s'étale sur plusieurs centaines de mètres et qui, d'ailleurs, suscite l'étonnement chez les badauds qui soit, nous croisent, soit sont attablés à des terrasses de café pour un Happy hour déjà aviné pour certains.
Petit détour par la plus vieille horloge de Paris datant de 1370 qui, il faut le rappeler, avait été commandée par le roi Charles V. Elle est accolée à la Tour de l'Horloge située près de la Conciergerie. Parée de dorures magnifiquement entretenues, elle a traversé les siècles sans trop de dégâts, on va dire.
On poursuit avec l'Hôtel de Ville. Massif, finement sculpté, cet bâtiment qui, à l'origine, ne fut pas celui-ci puisque pillé et détruit en 1871 lors de la Commune, est doté aujourd'hui d'une superbe horloge. Vous n'êtes pas sans savoir qu'au Moyen Âge, cet endroit se voulait être le théâtre des exécutions publiques dont celles de Ravaillac (assassin du bon roi Henri IV en 1610) et Cartouche en 1721.
https://www.sous-les-paves.com/lhistoir … -de-greve/
Il convient de mentionner qu'à chaque halte, nous aurons droit à un petit commentaire (enfin presque) de la conférencière. L'une d'entre elles serait d'ailleurs émaillée d'un "petit incident' provoqué par un mauvais coucheur. En effet, alors que nous admirions l'Automate dans le quartier de l'Horloge près de Beauboug, (un quartier hautement touristique avec à proximité un bar particulièrement bruyant où l'on fêtera dignement l'anniversaire d'une jeune femme), celui-ci, pris d'une colère noire, s'est mis à apostropher les organisateurs qui ont préféré ne pas réagir.
https://www.evous.fr/paris/le-marais/Vi … 32301.html
Au gré de notre balade, nous serons amenés à admirer des horloges diverses et variées notamment sur d'imposantes façades d'anciens grands magasins reconvertis en bureaux. Incidemment, nous passerons près de lieux mythiques comme le Grand Rex et le théâtre Mogador où se sont produits des artistes mythiques comme les Rolling Stones, Higelin et Van Halen. La balade prendra fin au pied de la gare St Lazare avec cette oeuvre réalisée par le peintre-sculpteur Arman, intitulée L'Heure pour tous. En voici quelques clichés :
Une bien jolie balade que je referai sans doute le mois prochain mais sur un autre thème.
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Merci pour les photos phil
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RANDONNEE BORDS DE MARNE, 7/9/25
Les Drôles, pour cette nouvelle saison pédestre, étaient de retour, fringants, joyeux et surtout heureux de se retrouver pour une escapade bucolique sur les bords de Marne de 17 km en SAM organisée par le très rigoureux Alain M.
C'est donc du Centre Jacques Prévert à Gagny,, point de rendez-vous habituel, que le groupe ô combien important des randonneurs entame sous un soleil radieux sa marche au son des "Tu as passé de bonnes vacances ?" "Il a fait beau ?" "Tu t'es bien promené(e) ?"
Une fois les retrouvailles passées, nos Drôles se concentrent sur une allure régulière car deux mois sans randonner se font malgré tout sentir. Ceci dit, après quelques petits kilomètres, nous, les Drôles, retrouvons un pas à la fois alerte et déterminé. L'adage selon lequel "C'est comme le vélo, ça ne s'oublie pas" s'avère être pleinement respecté.
La Marne, parlons-en donc brièvement. C'est le lieu de vie des hérons, martins-pêcheurs (que nous ne verrons pas) et autres cygnes, mais c'est aussi un endroit qui nous offre encore ce matin-là la plus belle de ses parures. Automnale, me direz-vous, oui pour les couleurs mais non pour la température qui, à mesure que la journée avance, se fait de plus en plus pesante. Nous sommes encore en été certes mais plus pour longtemps. Heureusement, pour bénéficier d'un peu de fraîcheur, nous traversons la forêt régionale de l'Ile de Vaires qui nous mène tambour battant sur le superbe panorama donnant sur l'impressionnante base nautique de Vaires sur Marne, une base qui suscite l'émerveillement chez certains Drôles parce que ce fut aussi un lieu de tant d'émotions suscitées par les Jeux Olympiques de Paris l'an passé. A un moment donné, on croit même entendre encore les clameurs d'encouragement de spectateurs enthousiastes.
A la vue du site, des "Oh que c'est beau !!!!!" se font entendre de concert au sein de la cohorte des randonneurs.
L'enthousiasme de départ se vit quelque peu écourté par la présence de cyclistes revêches rebaptisés pour l'occasion "Rois de la Route" car l'un d'entre d'entre eux se permit même de percuter l'une de nos éminentes adhérentes. Le cycliste imprudent (il n'est pas d'autres mots pour qualifier son comportement), après avoir commis son forfait, fut d'ailleurs victime dans la foulée euh........dans la "pédale", d'une chute impressionnante. Ce dernier, autant le dire, roulait visiblement très vite sur un chemin dérapant.
"Oh bobooooooo, j'ai boboooooo !!!!!" geignit-il tel un enfant de 6 ans. L'homme, visiblement éprouvé et loin d'être un "Geignit de la Petite Reine", se fit aider tout de go pour se relever par des Drôles au demeurant fort bienveillants mais en même temps quelque peu accusateurs. Ne demandant pas son reste, il repartit, grommelant dans sa barbe de plusieurs jours tandis que notre fidèle compagnonne, elle, se remettait tout doucement de ses émotions.
Pour le repas que chacun attendait,.........espérait avec impatience (surtout ne me dites pas le contraire, je ne vous croirai pas), Alain M. dénicha un charmant petit endroit pour s'y restaurer. Ce fut donc le temps des salades Daunat picorées avec des couverts de fortune (à ce titre, l'une des randonneuses dont je tairai le nom, avait oublié les siens lol) et des sandwiches concoctés chez soi souvent dans la précipitation car vous n'êtes pas sans savoir que l'heure de ce rendez-vous dominical se doit d'être impérativement respectée. Et ça, c'est sacré !!!!!!!!!! Ce qui est également sacré, rituel bien implanté chez les Drôles, ce sont le petit apéritif et le rhum arrangé proposés par certains d'entre eux, un réconfort fort apprécié qui permet à la plupart de repartir de bon pied sous une chaleur devenue subitement plus lourde.
Au moulin de Douvres, point de falaises de craie mais plutôt l'ancienne chocolaterie Menier au charme non dissimulé qui se dresse fièrement au loin de l'autre côté de la rivière. Un spectacle magnifique qui donne aux randonneurs le courage suffisant pour sillonner le chemin guère difficile qui soit dit en passant regagne la forêt régionale de l'Ile De Vaires, laissant de côté le Fossé de Travers pour atteindre la passerelle de Champs.
Et là, nouvel "incident" heureusement loin d'être diplomatique, celui-ci. En effet, au lieu d'obliquer vers la droite comme convenu, certains dont je ne divulguerai pas le nom, même sous la torture, prendront par erreur la direction opposée, se retrouvant ainsi devant l'emblématique restaurant italien Il Cappucino devant lequel nous étions passés quelques heures plus tôt. J'en verrai même certains qui jetteront un oeil intéressé non pas à la carte IGN mais à la carte.......des menus. lol Ce qui tend à dire que je faisais partie de ce groupe...... lol En toute hâte, nous retraversons la passerelle et rejoignons le peloton de tête.
Il ne nous reste que très peu de kilomètres à parcourir. Nous franchissons une nouvelle fois la Marne via le pont de Gournay, longeons brièvement la piste cyclable, retraversons ce noble cours d'eau, atteignons la Pointe de Gournay, lieu incontournable pour les experts-bricoleurs (Lapeyre et Point P y ont élu domicilie) pour finalement récupérer le quartier du Chenay, point final de cette belle randonnée dominicale. Vivement la prochaine !!!!!!!!
1er passage devant Il Cappucino
L'ancienne chocolaterie Menier.
2ème passage.........par erreur devant Il Cappucino.....
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