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Diffusion RTL. Concert incomplet mais son FM. Manquent à l'appel Blackout, Coast To Coast, Always Somewhere et Can't Get Enough. J'ai le concert complet avec une qualité de son nettement inférieure. p**** que c'est bon de revivre ça !!!!!!
Dernière édition de: Phil93 (21/12/2025 13:04:03)
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Hey, The Prisoner
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Sodom - 'Til Death Do Us Unite
Sodom - Code Red
Sodom - M-16

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Avant-dernière sortie en date du Canadien originaire de Montréal, la dernière étant un DVD Live At The Agora Theatre particulièrement difficile à dénicher. Un double live enregistré chez lui à Montréal en 2001 qui revisite généreusement une bonne partie de sa carrière et qui montre et ce, malgré un âge avancé, que le Montréalais disposait encore à cette époque de plus d'une corde à son arc. C'est ainsi qu'il nous gratifie de superbes versions de Strange Universe, Stories Of A Hero, Tales Of The Unexpected et Return To Avalon ou même des reprises telles que Crossroads, She's Not There, Red House et Voodoo Chile mais pas de Johnny Be Goode comme sur l'emblématique Live paru en 1978 mais bon, tout dans ce Real Live est bon à prendre.
Dernière édition de: Phil93 (21/12/2025 23:18:15)
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Sodom - Sodom
Sodom - The Final Sign of Evil

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Sodom - In War and Pieces
Sodom - Epitome of Torture

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Un album fort sympathique de deux chantres de Thunder sorti en 2002. Au cours des années 1990, Thunder s'était constitué une solide base de fans, bénéficiait d'une excellente presse au Royaume-Uni et avait vendu plusieurs millions d'albums. Malgré une baisse des ventes vers la fin, ces dix années avaient été couronnées de succès pour le groupe. Le chanteur Danny Bowes, le guitariste Luke Morley et le batteur Gary « Harry » James travaillaient ensemble depuis bien plus longtemps, ayant auparavant formé le noyau dur du groupe de rock britannique Terraplane, dont le point culminant avait été leur prestation au festival de Reading en 1982.
Tout le monde a besoin de changement, et c'était aussi le cas pour Thunder. Après un concert d'adieu au Camden Dingwalls en mai 2000, le groupe s'est tourné vers de nouveaux projets. Luke Morley a sorti un album solo, « El Gringo Retro », en 2001, qu'il a promu avec des concerts. Ces concerts ont accueilli d'autres membres de Thunder (mais pas Bowes), si bien que, finalement, les membres de Thunder n'avaient pas vraiment changé de registre !
En 2002, Morley s'associe à nouveau au chanteur Danny Bowes, formant le duo Bowes & Morley, au nom pour le moins original. Bien que le duo soit le moteur de Thunder et que la plupart des chansons soient écrites par Luke Morley, comme à son habitude, leur premier album, « Moving Swiftly Along », délaisse le son hard rock classique de Thunder, influencé par Free et Bad Company, pour privilégier des rythmes soul plus doux. Si quelques titres flirtent avec la mièvrerie, il ne s'agit pas souvent d'une soul douce à la Motown… Ici, pour des raisons évidentes, l'influence soul de l'album se manifeste souvent à la manière d'un musicien de rock blanc.
« Freakshow » ouvre le bal avec un piano entraînant et une légère touche Stax. Vocalement, Bowes est parfaitement à l'aise ; les chœurs féminins ajoutent de la profondeur aux éléments soul, mais le morceau aurait été tout aussi réussi sans eux. « Hypnotized » possède un groove funk bien structuré et une ambiance festive beaucoup moins décontractée. Le morceau s'ouvre sur une ligne de guitare aux accents espagnols subtils, avant qu'un arrangement de cuivres précis ne vienne créer un refrain accrocheur. La batterie insuffle un groove chaloupé, agrémenté d'orgue, et si la contribution de Morley se limite principalement à une guitare rythmique saccadée, l'ensemble monte en puissance jusqu'à un solo magistral qui occupe tout l'espace jusqu'à la fin.
L'ambiance se fait plus douce avec « Something About My Baby ». Si les influences soul de ce titre penchent vers un style easy listening plus sirupeux (un style que les chœurs féminins ne mettent pas vraiment en valeur), une basse chaleureuse, soutenue par le sitar (joué ici par Garfield Myers, co-auteur du morceau), offre un écrin idéal à Bowes, qui, comme toujours, livre une performance remarquable. Heureusement, une reprise énergique de « Powertrippin » de The Power Station apporte le contraste nécessaire pour équilibrer le tout. Ici, la guitare rythmique de Morley est incisive et agressive, rivalisant avec des cuivres tout aussi tranchants. La ligne de basse de Childs est dynamique sans être envahissante et, dans l'ensemble, c'est l'un des rares morceaux qui aurait pu figurer sur un album de Thunder. Peter Shoulder de Winterville y fait une apparition remarquée avec un solo de guitare à la fois agressif et mélodieux. [En 2010, Morley a formé avec Shoulder un groupe de blues-rock appelé The Union, à ne pas confondre avec le groupe du même nom comprenant Bruce Kulick de KISS et John Corabi, ancien chanteur de Mötley Crüe/The Scream].
« Dancing The Night Away » dégage une énergie similaire, mais malgré une nouvelle ligne de basse impeccable de Childs et une superbe voix de Bowes, ce titre est moins percutant que les morceaux uptempo précédents en raison d'un refrain sans inspiration, trop dépendant des chœurs. « Hesitate » trouve le juste équilibre entre les ingrédients musicaux clés de l'album. Bowes propose un mélange réussi de rock et de soul dans sa voix et la guitare de Morley a du mordant, sans toutefois en faire un morceau de hard rock. Les cuivres rappellent une fois de plus le Stax classique (notamment le travail de Sam et Dave) et un solo de piano électrique (signé David « Muncher » Moore) ajoute une touche rétro irrésistible. Même les chœurs sont bien arrangés, ce qui en fait un titre qui se démarque.
« Better Times » s'éloigne des influences soul pour explorer un univers acoustique plus intimiste. La voix de Bowes est toujours aussi naturelle, tandis que quelques guitares twangy confèrent par endroits une légère sonorité country. Mais les meilleurs moments sont sans conteste les subtiles lignes de guitare électrique bluesy de Morley. « River of Time » possède un riff de guitare résolument funky, qui semble être une réinterprétation de celui de « Too Scared To Live » de Thunder (extrait de leur album « Behind Closed Doors » de 1995). De ce fait, l'approche plus mature de Bowes et Morley s'efface presque complètement. Ce qui, bien sûr, n'enlève rien à son charme. La voix de Bowes est puissante et l'arrangement permet à Morley de se lâcher (un peu, certes). Malgré ses qualités, il est dommage qu'ils n'aient pas remplacé l'orgue par un clavinet, pour une harmonie plus rétro avec le funk présent ailleurs sur le morceau.
« I'd Take the Stars Out of the Sky » clôt l'album en douceur, avec une interprétation très fluide de Bowes. L'orgue de Moore, typique des années 70, apporte une touche particulière.
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(Vinyle) Garage Rock australien 80's
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Une usine à tubes, cet album. Ce vinyle, je l'avais prêté à l'époque plusieurs fois et j'ai failli ne jamais le revoir. Il a presque fallu le batailler pour le récupérer.

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Dernière édition de: Phil93 (Aujourd'hui 13:09:11)
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