En Vivo : les chroniques
Le DVD ‘En Vivo’, dont la sortie est programmée le 26 mars 2012, a été présenté à la presse le 8 février 2012 chez EMI Music France
par musky00Laisser un commentaire
Le DVD ‘En Vivo’, dont la sortie est programmée le 26 mars 2012, a été présenté à la presse le 8 février 2012 chez EMI Music France.
Chronique de scRed publiée le 30 mars 2012 sur Actumusic
Pourquoi faudrait-il se procurer d’urgence « En Vivo ! », neuvième album live en date d’Iron Maiden (sans compter les « Beast Over Hammersmith » et autres pépites historiques puisées dans les archives de la BBC) parce que hein ? Quand on a déjà quatre ou cinq versions de « The Trooper » ou « 2 minutes To Midnight », l’intérêt peut sembler limité ! Erreur fatale pour plein de raisons que je m’en vais tenter de vous expliquer sans trop faire transparaître mon manque total d’objectivité dès que l’on commence à parler de la Vierge de Fer…
Chronique de Doc’ publiée le 13 février 2012 sur Radio Metal
Si le live en met plein la vue avec ses 22 caméras HD, il n’en demeure pas moins que l’intérêt de ce double DVD réside avant tout dans son documentaire qui nous montre pendant près d’1h30 l’incroyable logistique nécessaire à un concert d’Iron Maiden. La rigueur indispensable des techniciens pour organiser et charger les dizaines de caisses dans Ed Force One (le Boeing 757 customisé dont le groupe se sert pour voyager), la manière dont les designers d’Iron Maiden confectionnent les gigantesques back-drops du groupe, le rôle clé du bassiste Steve Harris qui veille aux moindres détails en tant que garant de l’image d’Iron Maiden ou le comportement des membres du combo dans leur vie quotidienne en tournée (avec les fans, les techniciens etc.) : ce documentaire a le vrai mérite d’exposer une réalité méconnue du grand public.
Chronique de BrattyV publiée le 8 février 2012 sur Metal Sickness
D’entrée de jeu, on s’aperçoit que la connexion entre le groupe et ses fans est fascinante et tellement prégnante qu’il est difficile de s’empêcher de lever les bras et de hurler comme des malades dès que Cap’tain Bruce balance un » Scream For Me Santiagooooooo ! » qui fait hérisser le poil. Mais bon, vu qu’on était entre « journalistes », il a fallu garder ma (légendaire) retenue… Et avec une setlist aussi riche et accrocheuse, qu’on soit fan ou non, on se prend facilement au jeu et on n’y trouve pas grand-chose à redire.
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