The Final Frontier : les chroniques

The Final Frontier

The Final Frontier : quelques chroniques de la presse internet récoltées de-ci de-là

par musky00

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Le 7 juillet 2010, le nouvel album d’Iron Maiden, intitulé The Final Frontier et dont la sortie publique est fixée au 16 aout 2010, était présenté à la presse chez EMI Music France. La maison de disques avait rassemblé une quarantaine de journalistes. Puis l’album est sorti le 16 aout 2010… Voici quelques chroniques de la presse internet récoltées petit à petit.

Chronique de Chisel publiée sur Rock Meeting

Me voilà de retour de congés !!! et il me tardait de donner mon humble avis sur le dernier Iron Maiden (en tant que défenseur des causes perdues !).

Première écoute de l’album (offert par mon beau frère) le 16/08 sur un petit poste CD de qualité médiocre à l’intérieur d’un mobil home. J’avais beaucoup d’aprioris à la vue de la longueur annoncée des morceaux et des premières critiques.
Dès l’introduction(interminable, 4’35, la durée d’un morceau), un sentiment de colère, émerge. Je me dis qu’il va falloir à chaque fois faire avance rapide pour pouvoir profiter de The Final Frontier auquel j’avais déjà accroché en voyant la vidéo.

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Chronique de Christian Larrède publiée sur Music Story

Cela ne rajeunit personne, mais on évoque ici le quinzième album en studio d’Iron Maiden, et convenons qu’on n’a pas vu le temps passer depuis 1975. S’appuyant toujours sur les poutres maîtresses que constituent le bassiste Steve Harris et Dave Murray à la guitare (Bruce Dickinson de retour au micro de chanteur depuis désormais plus de dix années), Iron Maiden aurait légitimement pu revendiquer une livraison de fonctionnaires. Sauf que….

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Chronique d’olivier no limit publiée Metal France

Quand il s’agit d’un groupe de cette pointure, pas facile d’en faire une chronique ; il y a ceux qui diront qu’ils ne sont pas novateurs car ils font toujours la même chose, ces derniers étant les premiers à critiquer, si le groupe s’écarte de ce qui a fait sa renommée. Personnellement je connais ce combo depuis ses débuts, ayant même eu la chance de les voir avec leur premier chanteur Paul di’Anno. Voici ma modeste critique.

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Chronique de Florentc publiée sur Aux Portes du Metal

La sortie d’un nouvel album d’Iron Maiden est toujours un gros événement dans le monde du metal. Et depuis pas mal d’années maintenant, dès que la vierge de fer revient avec du neuf, nous avons le droit à tout un tas de réflexions parmis lesquelles:
« Iron Maiden c’est nul je n’ai jamais aimé »
« Iron Maiden c’était mieux avant »
« Iron Maiden ne fait plus de bon album depuis … »
« Je n’aime pas la pochette je sens que ça va être nul »
« Je n’aime pas quand Iron Maiden fait du progressif »
« Iron Maiden fait du Iron Maiden c’est nul »
« Vivement le retour de Blaze Bayley » (non ça je ne l’ai jamais entendu en fait!)

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Chronique de Guillaume publiée sur Seigneurs du Metal

La Vierge de Fer revient trois ans après un très bon et changeant Matter of life and death, pour poursuivre sa carrière mais dans quelle direction ? Allons voir où est-ce que cette frontière finale nous mène.

On débute par une bien étrange intro très futuriste avec « Satellite 15.. The final frontier » qui surprend mais passe bien, avant de s’éterniser et de nous envoyer enfin sur le titre. Celui-ci est bien plus conventionnel avec une rythmique entrainante soutenue par une ligne de guitare acoustique là aussi surprenante. Dès ces premiers instants on comprend que Maiden essaie d’aller de l’avant sans trop se renier non plus. A noter un refrain simpliste au possible et répétitif à la mort. Bref un début des plus mitigé. Place à « El Dorado » qui retrouve (déjà) la basse galopante de Steve Harris. Sans surprise mais déjà largement mieux. Cette deuxième pièce remet du baume au cœur et permet à Mr Bruce Dickinson de faire étal de son savoir faire vocal ! Très bon !

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Chronique de athanagor publiée le 6 septembre 2010 sur Krinein

15e album de la plus fine équipe d’An­gle­terre, ce nou­vel opus ne se contente pas de sur­fer sur la no­to­rié­té d’un groupe qui a pu vendre qua­si­ment au­tant d’album stu­dio que de best-​of et de live. En­core que pour ces der­niers, il n’y a pas grand mal de fait, car c’est bien sur scène que le groupe est le plus à sa place. C’est d’ailleurs consi­dé­rant cela qu’on peut se faire la plus juste des idées sur tel ou tel album : que vau­drait-​il sur scène ? Cette ques­tion, ja­mais elle ne vien­dra à l’es­prit de l’au­di­teur par le biais d’un ef­fort par­ti­cu­lier en écou­tant The Final Fron­tier. Cet album semble avoir été pensé et pro­duit pour être ba­lan­cé sur scène, pro­cu­rant alors un plai­sir in­des­crip­tible à ceux qui se­raient les té­moins pri­vi­lé­giés de ce spec­tacle, et à aucun mo­ment le doute à ce sujet n’est pos­sible.

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Chronique de dark_omens publiée le 2 septembre 2010 sur Metal Ship

Erigées sur leurs piédestaux, les statues inébranlables des illustres icônes, celles qui rendirent la lumière à un monde aveuglé, posent imperturbablement leurs regards sur un monde fébrile prêt à boire chaque parole, chaque idée, de ces êtres impassibles. De la blancheur immaculée qui fut la leur autrefois ne reste plus qu’une couleur vert de gris sur laquelle, pourtant, les plus fanatiques s’extasient imperturbablement. Mais comment pourrions-nous être critiques avec ceux qu’autrefois nous avons tant aimés ? Par respect, simplement…

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Chronique de Dupinguez publiée le 1er septembre 2010 sur Les Eternels

Un nouvel album d’Iron Maiden. Cette seule petite phrase suffit à mettre en émoi la communauté metal et à relancer d’éternels débats, d’abord sur la discographie récente et passée du groupe avant la sortie dudit album, puis sur la qualité de celui-ci après sa parution. Alors, même si le groupe ne fait plus l’unanimité depuis une bonne vingtaine d’année, commençons cette chronique par un coup de chapeau tiré aux anglais qui, après plus de trente années de carrière, arrivent encore à mettre le feu au poudre sur la simple évocation de leur nom, preuve que l’intérêt est toujours là.

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Chronique d’Hervé SK Guégano publiée le 30 aout 2010 sur SFR Music

Quand un ténor du genre sort un nouvel album, on le découvre toujours avec une pointe d’appréhension. Non seulement parce que les grosses pointures n’ont pas droit à l’erreur, mais aussi parce que leurs œuvres donnent de précieuses indications sur la température du milieu. Lorsque le metal se démetallise pour séduire le grand public, c’est mauvais signe. Mais rien de tel ici, Iron Maiden reste indéniablement metal… et la stratégie s’avère payante. The Final Frontier s’est classé directement numéro un des ventes en France (et un peu partout dans le monde), s’offrant le luxe de déboulonner Zaz et, plus amusant encore, Les Prêtres ! 666, the power of the Beast ?

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Chronique de Dark Bouffon publiée le 30 aout 2010 sur Nightfall in Metal Earth

Bienvenue Mesdames et Messieurs sur notre vol IM15 à destination du nirvana ou du néant, ça sera à vous de choisir… Notre navette desservira plusieurs planètes en cours de vol et vous aurez tout le loisir de goûter – et de juger – le paysage musical que vous proposera notre équipage. Un voyage pareil aux côtés de ces vétérans du vol métallique est toujours attendu avec impatience et donne lieu à des critiques de toutes sortes. Nous profiterons donc nous aussi de l’excursion, en tant que fan indécrottable, afin de proposer notre vision des choses.

La navette décolle au cours d’une intro très inhabituelle pour le groupe (″Satellite 15… The Final Frontier″) avec guitare fantôme et batterie hallucinée très répétitive. Puis vient se greffer le chant désincarné de Bruce Dickinson. Voilà au moins une introduction, qui sans être exceptionnelle, a le mérite de proposer quelque chose de nouveau, n’en déplaise aux détracteurs de tous poils. La suite du morceau se veut beaucoup plus conventionnelle et bien moins aventureuse. Un titre taillé pour le live, au refrain répété… vingt fois dans la chanson ! D’ailleurs, ce défaut récurrent chez MAIDEN depuis plusieurs albums, en particulier sur ″A Matter Of Life And Death″ où il devenait réellement lourdingue (les refrains répétés à outrance sur ″Brighter Than A Thousand Suns″, ″The Longest Day″ et surtout ″For The Greater Good Of God″), tendent ici à se gommer car seul ce premier morceau souffre du syndrome de la phrase répétée jusqu’à extinction de voix…

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Chronique d’Uldor publiée le 27 aout 2010 sur Zonemetal.com

En effet, Iron Maiden est entré, grâce à son quinzième album (!), en tête des charts, non seulement chez nous, mais également dans 21 autres pays, ramenant le groupe à la belle époque de Seventh Son of a Seventh Son. Non content d’avoir récemment effectué l’une des plus colossales tournée de l’histoire du rock, le groupe bat encore des records en 2010…

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Chronique de Ben publiée le 27 aout 2010 sur Metal Sickness

J’entends d’ici les grincheux « Encore un Maiden ! Ils existent encore ceux-là ?! » et d’autres rajouter « Maiden, c’est comme AC/DC ou Motörhead, quand t’en as écouté un, tu les a tous écoutés ! ». Et bien amis bougonneurs, sachez que du haut de son incroyable carrière, le groupe se contrefout de votre avis et que du haut de mon admiration pour ce combo je trouve votre avis aussi respectable que dénué du moindre intérêt !

« The Final Frontier » va, comme tous les albums de la Vierge de Fer être disséqué par de nombreux chroniqueurs, les uns enflammés, les autres acides, et va certainement une fois de plus diviser le monde du métal en deux camps assez tranchés entre les fans, qui trouveront dans ce disque le chaînon manquant entre dieu et les hommes (au moins), et ceux qui ont lâché l’affaire jurant un peu partout que « c’était mieux avant » (mais ils ne placent pas tous le « avant » au même endroit !)

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Chronique de deby publiée le 24 août 2010 sur Shoot Me Again

Pour la sortie de son 15e album studio, The Final Frontier, Iron Maiden  n’a rien laissé au hasard. Les Anglais sont revenus au Compass Studio de Nassau dans les Bahamas, là précisément où ils avaient enregistré les légendaires albums que sont devenus Piece Of Mind ou Powerslave. Ils se sont, à nouveau, attachés les services de Kevin Shirley qui est devenu, au fil du temps, le producteur attitré du groupe après Martin Birch.

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Chronique d’Alkayl publiée le 24 août 2010 sur Les Immortels

« Dans l’espace, personne ne vous entendra crier ». Telle était l’accroche du premier film Alien. Et si ces premières tribulations d’Ellen Ripley ont quelque peu vieilli, cet avertissement porte encore. Aussi, lorsque le groupe britannique Iron Maiden renoue avec la dimension spatiale, déjà aperçue avec Somewhere in time et livre un trailer d’album qui fait tant référence aux luttes menées par le personnage incarné par Sigourney Weaver qu’au jeu Dead Space, l’intérêt s’aiguise, et on se prend à songer qu’Eddie pourrait bien nous surprendre.

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Chronique de zeitoun publiée le 22 aout 2010 sur Inwë[B]zine

A l’âge ou certains considèrent qu’il est bon de vivre sur ses acquis, la vierge de fer prend du risque….et pas si timide que ça, je vous prie; niveau dynamique progressive, ça explose les prédecesseurs, y compris le plus tout jeune et génial seventh son…Au passage, faudrait acheter cet album à Portnoy et Petrucci pour qu’ils comprennent bien le mot progressif, ça leur ferait du bien. Maiden a poussé le bouchon trés loin, c’est ce n’est pas la longueur moyenne des morceaux (7mn30) qui viendra me contredire.

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Chronique d’Arnaud Splendore et Vincent Ouslati publiée le 21 août 2010 sur pop-rock.com

Depuis le retour de Bruce Dickinson dans le giron de la Vierge de Fer, les anglais ont établi clairement une chose : le groupe n’est pas là pour faire de la figuration en se contentant de vivre sur ses acquis. Hors de question de refaire inlassablement le même album, confiant dans le fait que les fans s’en contenteront. Maiden n’a que faire de son statut de légende, et compte bien défendre chèrement sa peau en prouvant à chaque occasion que le groupe a toujours sa place dans la scène musicale actuelle. Et si A matter of life and death ne suffisait pas à le prouver, les Anglais enfoncent cette fois-ci le clou de façon magistrale, et le marteau s’appelle The final frontier.

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Chronique de MetalAngel publiée le 18 aout 2010 sur Spirit Of Metal

Après un AMOLAD déjà très progressif et qui voyait le groupe utiliser de nombreuses parties acoustiques (« The Legacy », « Lord of Light », « Out of the Shadows »), Iron Maiden confirme cette tendance et nous revient aujourd’hui avec un nouvel album qui ne peut, forcément, laisser personne indifférent. Oscillant entre passé et futur, The Final Frontier est à la frontière d’une nouvelle ère pour le groupe.

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Chronique de Guillaume Torrent publiée le 17 aout 2010 sur MusicActu

Groupe phare de la scène heavy metal internationale depuis plus de trois décennies, Iron Maiden refait parler de lui en cet été 2010 avec un quinzième opus intitulé « The Final Frontier ». Annonce-t-il la fin d’un cycle et une nouvelle orientation musicale ? Avant de dévoiler ses nouveaux morceaux, le groupe a procédé à un léger lifting de sa célèbre mascotte Eddie. Sur la pochette de l’album, il affiche un look proche de la créature du film « Alien » et sème la terreur dans les décombres d’un vaisseau spatial. Place aux guitares et à l’énergie rock, le combo n’a visiblement rien perdu de sa hargne.

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Chronique de edgecrusher90 publiée le 16 aout 2010 sur La Grosse Radio

On est loin des glam-rockers qui se contentent de tourner en festivals et se gardent bien de prendre le risque d’entacher leur légende avec un album pourri ! Le groupe a d’ailleurs eu raison, puisque « Brave New World » (2000) n’était ni plus ni moins qu’un chef d’œuvre, la meilleure réponse possible de la vieille garde qui prouvait ainsi qu’elle avait encore de beaux jours devant elle. Après un « Dance of Death » inégal (3-4 morceaux de moins et c’était une tuerie) et un très bon « A Matter of Life and Death », plus homogène, IRON MAIDEN poursuit dans la veine plus progressive qu’il a adopté depuis le début des années 2000 avec son dernier né, « The Final Frontier », qui sort aujourd’hui, lundi 16 août 2010, chez EMI.

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Chronique de ScRed publiée le 11 aout 2010 sur Actumusic.com

Espace, frontière de l’infini vers laquelle voyage le vaisseau HMS Iron Maiden. Sa mission depuis 35 ans, explorer de nouveaux mondes musicaux étranges, découvrir de nouvelles sonorités, et au mépris du danger, avancer vers l’inconnu.

-« Kirk à Enterprise ! Mr Spock, entendez-vous le même signal audionumérique que moi ? »

-« Oui Capitaine. Il provient d’un vaisseau non-répertorié qui a pénétré dans notre atmosphère il y a environ 70 minutes terrestres. Je sais que ma condition de vulcain me l’interdit, mais si je peux me permettre cette expression, ça envoie Capitaine ! »

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Chronique de Massimo publiée le 19 juillet 10 sur Allomusic

Vous en conviendrez, faire écouter un album d’Iron Maiden une heure et vingt minutes durant à un amateur de folk, peut être considéré comme une violation de la convention de Genève sur la prohibition de la torture. Inutile donc de préciser que je ne suis pas le mieux placé pour vous parler de heavy metal… Néanmoins voici mon ressenti.

Une fois les objets électroniques consignés et la charte de non-divulgation approuvée, je pénètre dans la salle d’écoute. Un écran géant la surplombe et quelques godets sont mis à la disposition de ses occupants. Après plusieurs minutes d’attente, la lumière s’éteint, un intervenant présente l’album en quelques mots et la chaîne Hi-Fi se met en marche, bruyamment. Le nom du premier titre et sa durée apparaissent alors sur la toile : The Final Frontier, 8 minutes et 40 secondes. Surpris par la longueur de cette comptine, je tends l’oreille pour tenter de saisir la réaction de mes voisins : « Ah ! C’est du bon Maiden ça !« . « On est pas dans la merde ! » me dis-je, car il semblerait que ces 8 minutes n’impressionnent que moi.

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Chronique de metalmp publiée le 9 juillet 2010 sur Metal Integral

Les Anglais nous offrent ici 10 titres totalisant 76’. Débutant par des ambiances spatiales et pesantes, avec une batterie lourde et rythmée comme une locomotive à vapeur, le premier titre (Satellite 15… The Final Frontier) nous embarque très vite dans un voyage Maidenien à la fois familier et tribal. Ne vous laissez pas rebuter par cette partie introductive bizarre et oppressante car derrière se cache un véritable mur de sons et d’ambiances que plus rien ne va arrêter. Les cavalcades de guitares qui suivent ou les ambiances quelque peu fantômatiques sur El Dorado, en téléchargement libre sur le site du groupe, rappellent les duels que pouvaient se livrer Adrian SMITH et Dave MURRAY au cours de la première partie de la carrière du groupe. Ce constat se répètera sur l’ensemble des titres dont les plus qu’efficaces Mother Of Mercy qui a de faux airs de Seventh Son Of A Seventh Son et qui garantit une bonne séance de headbanging… Il est à noter que les guitaristes – les trois… – savent être plus complices que jamais. Ainsi les arpèges du mid tempo et très Heavy Starblind et son solo dans les aigus, ainsi également l’esprit « troubadour » de l’intro de The Talisman, superbe et envoûtante pièce, ou encore l’intro calme en guitares claires de The Man Who Would Be King qui risque de cartonner en concert (j’entends déjà le public scander des Oh! Oh! Ooh!). Si Bruce DICKINSON est particulièrement en voix et réussi à atteindre des hauteurs bien plus aisément que d’autres vocalistes de sa génération, il sait également se faire particulièrement sensible (l’introspectif Coming Home ou le plus étonnant Isle Of Avalon). Cela se remarque particulièrement sur le titre le plus court de l’album, The Alchemist, titre pendant lequels les ors des guitares se disputent l’éclat et la brillance de la voix de DICKINSON qui chante dans un esprit d’urgence rarement entendu depuis son retour dans le groupe.

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Chronique de Metal’O Phil publiée le 8 juillet 2010 sur Radio Metal

5. The Alchemist – 4’25 :
On rentre rapidement dans le vif du sujet avec ce titre sans fioriture aucune. Pas d’intro, pas de pont. Juste un couplet, un refrain, un couplet, un refrain, un solo, un couplet, un refrain. Fin de l’histoire. Un titre traditionnel avec des rythmiques à la Maiden et ces petits coups de croche sur la cymbale ride, signature de Nicko McBrain.

A tiers-parcours, on a entendu tous les gimmicks qui font la personnalité de Maiden. Pourtant, cet album semble différent. Des titres qui se voulaient être les plus accrocheurs, on n’a finalement pas retenu grand chose… A cet instant, je me dis « tiens c’est bizarre, je ne me rappelais pas qu’il y avait autant de titres courts… ». Et ma mémoire ne m’égare que très légèrement. Car c’est surtout cette avalanche de morceaux fleuve qui m’avait marqué à la lecture du tracklisting.

6. Isle Of Avalon – 9’06 :
Iron Maiden nous fait la démonstration de son talent pour les intros en crescendo avec ce « Isle Of Avalon ». La guitare commence seule avec un motif arabisant, puis est rejointe par le même jeu de charley en double croches que sur « El Dorado ». Puis la grosse caisse se rajoute discrètement. A l’instar de « The Longest Day » sur le précédent opus, la batterie entre véritablement en scène avec de puissantes déflagrations et quelques descentes de toms à l’effet dramatique incontestable. Un bon morceau, dans la lignée des titres épiques de A Matter Of Life And Death.


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Chronique d’Olivier et Guillaume publiée le 8 juillet 2010 sur MusiqueMag

03. « Mother of Mercy » [05:20]

Olivier : Intro en arpèges. Ambiance « Je suis un marin et je pars combattre la sorcière des mers ». On croirait presque entendre du biniou breton pour le coup ! Bruce Dickinson envoie tout le trémolo qu’il peut. À tel point qu’il s’en crotterait le froc. The Final Frontier s’annonce comme l’album le plus progressif metal de la Vierge de Fer. Mais on ne peut lui enlever sur ce début de disque une envie certaines de se renouveler.

Guillaume : Ce titre ne dure que 5’20 », ce qui d’après mes premières constations doit être l’équivalent du 3’30 » standard de tous les autres groupes du monde. Les trois guitares (c’est mon connaisseur de voisin qui me l’a soufflé) cavalent moins sur cette chanson qui retient moins mon attention que le deux premières.

04. « Coming Home » [05:52]

Guillaume : Le couplet de « Coming Home » pourrait sans problème figurer sur une balade des Guns N’Roses. C’est avec ce genre de morceau que je m’aperçois à quel point des groupes comme Avenged Sevenfold ont tout pompé sur Iron Maiden.

Olivier : Intro à la Metallica avant d’enchaîner une partie en arpèges à la Guns N’Roses. Le refrain se laisse emmener par un balancement primesautier. « Coming Home » paraît jusque là le moins bon titre de l’album. Iron Maiden en fait encore des tonnes. Parfois un peu gratuitement. L’épuration, on ne connait pas chez Steve Harris.

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Chronique de Ben publiée le 7 juillet 2010 sur Metal Sickness

1 « Satellite15… The Final Frontier » (8min40)
Un gros ronflement venu de très loin, et c’est parti pour une rythmique martiale, avec une batterie hachée et omniprésente. Très éloignés des openers des disques précédents, ce titre, qui est clairement coupé en deux parties distinctes démarre de façon très puissante, avec de gros accords plaqués et un chant qui tente de se faire une place au milieu du chaos ambiant. Arrivé à mi titre, on retrouve un morceau plus rock, beaucoup plus typique d’Iron Maiden, avec un refrain (« The Final Frontier » par paquets de quatre) doublé d’une guitare mélodique. Les trois gratteux s’en donnent à cœur joie pour un enchevêtrement de soli qu’on retrouvera tout au long du disque. Au niveau son, Kevin Shirley a mis les petits plats dans les grands pour servir Nicko McBrain !

2 « El Dorado » (6min49)
Déjà disponible en téléchargement gratuit sur le site du groupe, ce premier single ne m’avait pas franchement convaincu, mais force est de constater que là, avec un gros son, il est tout à fait efficace ! Une cavalcade de basse si typique de Steve Harris couplé à un riff qui me fait (un peu) penser à celui de « Scream Until You Like It » de Wasp pour lancer la machine et le titre déroule une ambiance assez proche de ce que le groupe nous a proposé sur « Brave New World » et surtout « Dance Of Death » jusqu’à la partie instrumentale qui elle renvoie directement à la période « Powerslave ».

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Chronique de papy cyril publiée le 7 juillet 2010 sur VS-Webzine

1 Le contexte
Chez EMI, ça ne rigole pas ! Avant de pénétrer dans la salle, on vous fait signer un « contrat » et on vous demande de laisser tout matériel électronique en consigne à l’entrée (oui même mon téléphone tout pourri et mon GPS !). Un grand écran présente la pochette de « The Final Frontier » et égrainera les titres des chansons au fur et à mesure de l’écoute. Il y a environ une bonne quarantaine de personnes présentes. Après avoir patienté assez longuement (ben oui tout le monde avait quelque chose à déposer), parole à la musique.

2 Track by Track
1 Satellite15… The Final Frontier (8min40)
Comme on va le voir à mon sens les points de suspension indique bien 2 titres distincts. « Satellite15 » est un titre assez étrange pour du IRON MAIDEN. On a une grosse intro heay mid tempo suivie d’une très longue montée instrumentale, le chant arrive enfin, sans batterie derrière, le rythme est très haché. Une accélération très progressive suit avec de la double grosse caisse, on a ensuite de longs passages qui se répètent.

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