Vous n'êtes pas connecté.



Petite baisse de régime pour cet album, mais c'est toujours très sympa à lire. Le grand thème, c'est la lutte contre la maltraitance animale. Et puis Rantanplan est irrésistible...
Hors ligne


Du Blake & Mortimer classique, dans un Berlin coupé en deux, avec la visite express de JFK qui met tous les services secrets en place sur les dents.
Hors ligne


Du Blake & Mortimer classique, dans un Berlin coupé en deux, avec la visite express de JFK qui met tous les services secrets en place sur les dents.
Je l'ai lu récemment. C'est un très bon épisode, très typé espionnage, en pleine Guerre Froide, au début des années 60.
Hors ligne



Un super Western en BD par Benjamin Blasco-Martinez et Albert Bonneau !
"Moi aussi j'étais un aventurier autrefois, puis je me suis pris une flèche dans le genou."
Prix Dave Murray 2018/2022 & Rod Smallwood 2020 
Hors ligne

En mode lecture :

Hors ligne


Pas encore lu le dernier Astérix (ça ne va pas tarder) mais je viens de finir:
... la bio de cet acteur américain d'origine hongroise passé à la postérité pour ses incarnations du comte Dracula. Les coulisses ne sont pas aussi flamboyantes que les images de l'écran ...
Hors ligne


Alors, il est comment, ce 40ème album de nos fiers Gaulois ? Décapant, hilarant, sens de la répartie et ce, bien plus que les quelques derniers albums qu'il nous a été donné de lire ces dernières années. En effet, un changement de taille est intervenu puisque le scénariste Jean-Yves Ferri a laissé sa place au mystérieux Fabcaro. Pas si mystérieux en fait. N'y allons pas par quatre chemins, je viens de me renseigner sur notre gaillard qui a à son actif un CV long comme le bras.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fabcaro
Ce dernier manipule et déverse les jeux de mots et les réparties sans aucun complexe et ce, avec l'aval "céleste" d'un René Goscinny (que l'on sent fier), un René Goscinny que Fabcaro semble vénérer au plus point. N'est pas cet illustre maître qui veut mais en tous les cas, il s'en rapproche petit à petit de façon déterminante. Son humour est, paraît-il, reconnu dans la BD Zaï zaï zaï zaï adaptée en 2020 au cinéma.
Au fil de la lecture, et ce, encore aujourd'hui, il est m'est arrivé de ponctuellement pouffer de rire, chose qui ne m'était pas arrivée depuis belle lurette en lisant un album récent d'Astérix. Via ce personnage nommé Vicévertus (celui qui va mettre la pagaille dans le village) au demeurant assez sympathique dans sa façon de duper nos chers amis, nos deux auteurs que sont donc Fabcaro et Didier Conrad (le dessinateur depuis plusieurs albums déjà) vont tenter de nous convaincre des bienfaits de la "pensée positive". J'imagine le travail de fourmi en amont qu'il a fallu effectuer pour retrouver les citations adaptées à ce mode de pensée.
J'ai, je le reconnais bien humblement, failli tomber dans le piège de Vicévertus tant ses arguments ciselés sur du menhir, étaient pour la plupart bien amenés. On s'dit : "Il est plutôt sympa, ce gars-là" car il essaie de civiliser nos braves Gaulois enclins habituellement à se goinfrer de sangliers et à se bagarrer pour un oui, pour un non. Et puis voilà, il y a toujours un couic et un clac qui font que nos héros retrouvent leurs défauts enracinés depuis plus de 60 ans faisant de ce village un lieu de franche "amitié" et de convivialité que nul stratagème romain aussi subtil soit-il, ne sera à même de venir perturber pour longtemps encore.
Que dire du dessin ? Et c'est peut-être là que réside le seul bémol. Les traits de Didier Conrad n'ont pas à mon avis la subtilité de ceux d'Uderzo. Cela est particulièrement visible sur des personnages comme Abraracourcix et Obélix dessinés parfois de façon GROSsière, je ne dirais pas à la "va-vite" mais l'on sent bien que le coup de crayon n'est pas aussi assuré que ne le fut celui du regretté dessinateur.
Un très bon album pour ceux qui, après les quelques désillusions, provoquées par les récentes sorties, devrait, à mon humble avis les réconcilier avec l'univers absolument désopilant de nos chers Irréductibles Gaulois qui nous berce depuis nos vertes années.
Dernière édition de: Phil93 (27/10/2023 10:41:00)
Hors ligne

FabCaro est un génie de l'humour décalé dans ses BD. Je précise bien "dans ses BD", car ses livres ne sont clairement pas aussi géniaux. Je vous conseille vraiment son cultissime "zaï zaï zaï" "Moon River" ou "Et Si L'amour c'était aimer".
Je suis curieux de voir ce qu'il a fait pour Astérix, c'est un humour tout de même particulier, je ne pense pas que ce sera présent dans ce nouveau tome, donc à voir comment il s'est adapté.
Prix Eddie 2013 et 2018 ; Prix Nicko McBrain 2017 et 2022
27/06/11 ; 05/06/13 ; 20/06/14 ; 10/06/16 ; 24/06/18 ; 05/07/18 ; 06/07/18 ; 17/06/23 ; 19/07/25
Hors ligne

Acheté hier cette magnifique BD au Musée de la Grande Guerre de Meaux :
La guerre de 1914 éclate comme un coup de tonnerre au cœur de l'été. L'armée française, avec ces uniformes d'un autre temps, s'engage dans le conflit tête baissée. Henri de Maury, un jeune officier, fait partie de ces hommes, et part à la guerre armé d'un patriotisme aveugle et d'une conception de la bravoure qui le mènera aux confins de son humanité. Dans la Marne, ses convictions pourraient bien le pousser à franchir des limites indicibles… Après l'orage, comment se remettre et survivre, lorsque sa vie a définitivement basculé ? Un récit poignant sur les traumatismes de la première grande catastrophe du XXe siècle.
Natif de la Marne, Victor Lepointe a côtoyé les lieux de souvenirs de la Première Guerre mondiale dès son plus jeune âge, mais c’est après une visite à Verdun qu’il s’est passionné pour le sujet. Il accumule alors les objets d’époque et participe à plusieurs fouilles, obsédé par cette période. Infographiste pour une entreprise lyonnaise, c’est pourtant dans le dessin qu’il s’épanouit. Après avoir illustré deux livres aux Éditions Entre-Temps, il signe sa première bande dessinée en solo avec La Guerre des loups, aux Éditions Pierre de Taillac, dans laquelle il réunit ses deux passions, le dessin et l’histoire.
« Une histoire poignante et humaine accompagnée de magnifiques dessins, comme peints à l'aquarelle. »
Les grands conflits de l’Histoire
« Un récit poignant sur les traumatismes de la première grande catastrophe du XXe siècle. »
Hérault Direct

Dernière édition de: Phil93 (12/11/2023 20:07:31)
Hors ligne



Premier volume d'une trilogie consacrée à la vie mouvementée du peintre espagnol Salvador Dali, que j'aime particulièrement. Ce tome couvre l'adolescence, la vie étudiante et les premiers pas à Paris, jusqu'à sa rencontre avec Gala, sa future muse.
Hors ligne

Une BD superbement illustrée qui revient sur ce cold case de la fin des années 40 en Californie. Run et Florent Maudoux, pour mener à bien leur projet, proposent un véritable travail d'enquête particulièrement précis et documenté à partir d'archives de l'époque. Cela commence à Medford dans le Massachusets pour se terminer sur un terrain vague où l'on retrouvera le corps sans vie d'Elisabeth Short.

https://fr.video.search.yahoo.com/searc … tion=click
Dernière édition de: Phil93 (05/01/2024 13:18:48)
Hors ligne


Une BD superbement illustrée qui revient sur ce cold case de la fin des années 40 en Californie. Run et Florent Maudoux, pour mener à bien leur projet, proposent un véritable travail d'enquête particulièrement précis et documenté à partir d'archives de l'époque. Cela commence à Medford dans le Massachusets pour se terminer sur une plage où l'on retrouvera le corps sans vie d'Elisabeth Short surnommée le Dahlia noir.
J'ai lu cette BD l'année dernière. C'est une vraie réussite, du point de vue graphique et du point de vue reconstitution historique. L'assassinat de cette Elizabeth Short ne cesse de fasciner (voir le super roman de James Ellroy, Le Dalhia noir).
Relecture d'un classique:
Moins ambitieux que les autres albums - une simple intrigue policière - mais très bien quand même.
Hors ligne



Entre SF et polar noir, c'est bien déjanté. Un noir et blanc bien sympa 
Hors ligne

ASTERIX EN LUSITANIE (2025)
Codifions, codifions tout, même chez Astérix alors que ce dernier ne l'avait peut-être même pas demandé et ce, par l'intermédiaire de ses deux illustres créateurs. En effet les aventures du petit Gaulois et de son inséparable ami Obélix sont aujourd'hui codifiées sous les deux appellations "Album-village" ou bien "Album-voyage.........voyage". A ce propos, j'entends déjà certains entonner le célèbre refrain de Desireless, histoire de dire qu'ils sont "à la page" quoique Desireless ("Sans désir") ne l'est plus trop car paraît-il, elle est devenue dure "de la feuille"......
Alors qu'en est-il de ce 41ème album de nos irréductibles Gaulois acheté le jour de sa sortie, chose que je fais depuis que je suis en âge de le faire ? Donc, première chose, on va le codifier, cet album puisque c'est ce qui nous est demandé. C'est un album "Voyage......Voyage" et voilà, c'est décidé, on part en Lusitanie autrement dit au Portugal, un pays dont on m'a dit qu'il était magnifique et accueillant où je ne suis jamais allé où je devrais certainement me rendre mais les incendies annuels me rebutent au plus haut point ainsi que la chaleur qui y règne.
Voici donc venir un "Ancien", Boulquiès, qu'il s'appelle, apparu pour la 1ère fois en 1971 dans Le Domaine des Dieux. Dans cet album magnifique à tous les niveaux (dessins et scénario), on voit Le Lusitanien revendiquer en compagnie de ses pairs pour un meilleur salaire et des conditions de travail bien plus décentes que celles imposées par l'architecte Anglaigus.
Pour l'heure, le voici qui débarque sur la côte armoricaine, celui-ci, ayant bénéficié du "voyage-voyage" à l'oeil sur la rutilante galère de son compère phénicien, le trop célèbre Epidemaïs, personnage-clef chez Astérix, celui-ci apparaissant régulièrement au gré des aventures de nos deux héros, vient solliciter l'aide de nos deux Gaulois préférés pour aller délivrer son meilleur ami Mavubès, ci-devant producteur de garum, une sauce à base de poisson dont est particulièrement friand le redoutable César. Accusé d'avoir voulu empoisonner ce dernier, il croupit actuellement dans une geôle d'Olisipo (ancien nom de Lisbonne) et à cause de la machination fomentée par les horribles Crésus Lupus (Berlusconi), Pluvalus (qui a un côté très Gracchus Garovirus d'Astérix chez les Helvèltes) et Pirespès (traître et ce, depuis des générations et fier de l'être), ce dernier me faisant immanquablement penser à l'infâme Détritus dans La Zizanie. Tout est réuni par conséquent pour nous proposer une histoire fort sympathique. Ceci dit, son issue reste en tout point aléatoire (pas complètement en même temps car l'on sait par avance que nos deux amis finiront par se défaire du guêpier tendu par nos trois affreux). Malgré cela, l’atmosphère générale se veut être bercée par une certaine douceur teintée de mélancolie, un peu comme le chanterait une jolie chanteuse de fado éplorée.
A la 1ère lecture, j'avoue ne pas avoir complètement adhéré à cette histoire la jugeant non pas bâclée mais dépourvue de rebondissements. C'est un peu comme pour la musique, il faut peut-être parfois lui accorder une seconde chance.
Procédant ce matin à une relecture (il en faudra une, je vous l'assure donc) et surtout faisant fi de tous les commentaires limite condescendants de la part de certains partisans (sûrs de détenir la vérité absolue), ceux-ci louant par la même la plupart des anciens albums comme étant des chefs d'oeuvre (bien sûr qu'ils le sont et c'est bien là, mon humble avis), je me suis davantage concentré sur les détails inhérents à l'humour qui s'est avéré être non pas croustillant mais tombant à point nommé, aux dessins certes moins raffinés que pouvaient ne l'être ceux d'Uderzo mais véritablement soignés et l'intrigue globalement bien structurée (même si j'eusse souhaité encore et toujours plus de péripéties haletantes, je suis exigeant, non ?), l'addition de tous ces paramètres faisant que cet album, je l'ai trouvé intéressant voire attachant sans être cependant du niveau de ses illustres prédécesseurs de l'ère Goscinny-Uderzo, ces messieurs s'avérant être de véritables métronomes de la bande dessinée qui, grâce a atteint le statut ô combien prestigieux de 9ème art.
Pour faire court, (je m'aperçois qu'en fait, je n'ai pas fait court lol), cet ouvrage ne m'a pas ennuyé une seule seconde (comme quoi.....) après cette 2ème lecture. Mais bon, ainsi que je viens de le lire ailleurs , on pourrait définir cet album comme étant à la fois "olfactif, délicieux et joyeux" comme se plaisaient à le dire nos deux créateurs aujourd'hui disparus mais en contrepartie, ce nouvel effort gaulois n'est pas sans mettre l'accent sur la conjoncture actuelle et ce, via de subtils petits clins d'oeil au statut des retraités et aux dépenses inconsidérées effectuées par nos "dignes" représentants de l'Etat. Vous en ferez ce que vous voulez mais, parmi les dernières réalisations, il fait partie de mes préférés. Et puis, que cette couverture est magnifique !!!!!!

Dernière édition de: Phil93 (24/10/2025 14:10:47)
Hors ligne

Alors vous l'avez acheté et lu ?
Hors ligne
[ Généré en 0.047 secondes, 9 requêtes exécutées - Utilisation de la mémoire: 2.05 MiO (Pic : 2.22 MiO) ]