Première partie : Lauren Harris

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La nouvelle compilation d’Iron Maiden, Somewhere Back In Time, a pris les positions suivantes dans le classement des ventes lors de la première semaine de sa sortie dans les bacs :
En France, la compilation apparaît en position 13 du classement des ventes de compilations établi par IFOP.
Somewhere Back In Time – The Best Of: 1980-1989 s’est vendu à 11000 exemplaire aux Etats-Unis dans sa première semaine de parution, selon Nielsen SoundScan.
Le guitariste Dave Murray sera interviewé par DJ Junkman de Knac.com lundi 26 mai à 19h30 PST.
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Les chiffres du concert Groupes : Iron Maiden, Lauren Harris |

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Kerrang! a convaincu certains de ses groupes préférés de rendre hommage à Iron Maiden en enregistrant des reprises uniques des plus grands tubes du groupe, pour créer un CD intitulé Maiden Heaven. La liste des titres et les détails de cette parution mondiale seront révélés le mois prochain et VOUS pouvez également être impliqués en concevant la pochette de l’album !
Vous êtes totalement libres du thème de cette pochette et vous pouvez utiliser tous les moyens à votre disposition pour la réaliser. Un comité K! sélectionnera le lauréat et le contactera en temps voulu. Votre proposition peut être soumise en format JPG haute résolution (300dpi – 150mm x 150mm) et doit être envoyée par e-mail à feedback@kerrang.com. Vous pouvez éventuellement envoyer votre oeuvre originale mais notez qu’elle ne vous sera pas retournée. La date limite pour ce concours est le 26 mai 2008.
Que gagnerez-vous ? En plus d’avoir votre dessin ornant la pochette de cet incroyable album, le gagnant remportera également un an d’abonnement à Kerrang!.
“Il y a une petite histoire derrière cette guitare« , dit Dave Murray, le guitariste d’Iron Maiden à propos de la Strat 1957 qu’il a utilisé pour produire les sons plaintifs qu’on entend sur chacun des huit premiers albums d’Iron Maiden. “Elle appartenait à Paul Kossoff de Free. Je l’ai achetée en 1976, un an après sa mort. J’ai vu l’annonce dans un magazine anglais, le Melody Maker, et je suis allé la voir. J’ai pris le numéro de série pour être sûr que c’était bien sa guitare« .
“Il a beaucoup utilisé cette guitare au sein de Free. Je l’ai vu l’utiliser il y a de nombreuses années lors d’une prestation de Free qui jouait ‘My Brother Jake’ dans une émission de télé anglaise appelée Top of the Pops. C’était un de mes groupes préférés et je me devais d’avoir cette guitare car elle appartenait à Kossoff ».
“Je l’ai payée environ 1 400$, ce qui était une petite somme en 1976. Mais tant pis. j’ai vendu tout ce que j’avais pour pouvoir l’acheter. Et je l’ai utilisée depuis lors jusqu’à présent. C’est comme si je tenais un objet magique, parce qu’il utilisait cette guitare« .
A part remplacer le micro Fender original par des humbuckers DiMarzio (“pour rendre le son un peu plus gras”), Murray n’a rien fait pour modifier le manche en érable de la guitare noire et blanche. “Je l’ai utilisée en tournée« , continue-t-il. “C’était ma guitare principale et je jouais tout avec : solo et rythmique, des trucs propres, des trucs lourds. Elle était vraiment polyvalente« .
Néanmoins, Murray a donné à sa fidèle Fender Stratocaster une retraite honorable il y a plusieurs années. « J’avais l’habitude de la garder avec moi« , dit-il. « Mais elle a commencé à avoir quelques petits coups dûs à l’usure normale. J’ai donc décidé de la mettre à la retraite. Elle est dans la maison de ma mère aujourd’hui, bien que je la reprenne de temps en temps« .
Sa face démoniaque nous fixe furieusement sur toutes les pochettes des albums d’Iron Maiden depuis la parution du premier LP en 1980. Edward T. Head, mieux connu sous le nom d’Eddie, est un ancien masque de théâtre qui pendant 30 ans a acquis un corps et s’est transformé pour devenir le plus célèbre des membres du groupe.
Dans les annés 70, c’était une tête qui surplombait le batteur. « Il avait des yeux rouges clignotants et il vomissait ce faux sang marrant partout autour de lui« , se rappelle le batteur Nicko McBrain.
Quand Iron Maiden ont sorti leur premier album en 1980, il n’y avait aucun doute sur qui serait sur la pochette – Eddie, dessiné par l’artiste britannique Derek Riggs, qui parle ici à Revealed du revenant qui l’a rendu célèbre.
Lorsque vous avez commencé à dessiner Eddie dans les années 1970, avez-vous jamais imaginé qu’il allait avoir ce profil, très aimé par les fans de Maiden ?
Derek Riggs : Dès que j’ai eu fini de peindre la première image d’Eddie, je me suis assis dans ma chaise et j’ai pensé : « cette image va me rendre riche et célèbre »… et puis j’ai pensé « ne sois pas ridicule » et je suis sorti chercher un café.
J’ai montré l’image à mon agent artistique qui me l’a rendue avec une grimace et a dit « nous ne pensons pas que cette image soit très commerciale ».
J’ai commencé à montrer mon portfolio à des directeurs artistiques de maisons de disques qui ont en général eu un sursaut d’horreur en le voyant, une fois un directeur artistique m’a jeté hors de son bureau parce qu’il ne pensait pas que ça fasse une bonne pochette pour un album rock. Il a montré une image sur le mur de ce qu’était son idée d’une pochette d’album rock – c’était un dessin à l’aérographe d’une serveuse dans une jupe courte qui se penchait de façon à ce qu’on voit sa culotte.
Un directeur artistique d’une autre maison de disques a proposé que je m’en aille, que je me coupe les cheveux et que je peigne plus de choses normales parce que je ressemblais à un « cas mental », et que je ne devrais pas peindre des choses comme ça et que je devrais suivre une thérapie.
L’image n’a pas été réclamée pendant un an et demi avant que Maiden ne demande à voir mon portfolio, j’ai rassemblé des choses et je me suis demandé si je devais prendre cette image parce qu’elle ne m’avait rien apporté sauf du chagrin, j’ai pensé « bon » et je l’ai collée avec le reste. Et maintenant je suis un peu célèbre mais toujours pas riche …
Cette histoire, et beaucoup d’autres, sont traitées plus en détail dans mon livre « Run for Cover, the Art of Derek Riggs » qui est disponible exclusivement sur mon site Web derekriggs.com, il contient également beaucoup d’images bonnes et mauvaises.
Ressentez-vous un lien personnel avec Eddie, puisqu’il est votre création, presque votre enfant ? Vous êtes-vous senti parfois comme un parent fier ?
Derek Riggs : Je ne suis pas le père d’Eddie, c’est juste une image que j’ai fait un jour et qui me colle à la peau. Je n’ai jamais eu l’intention de peindre cette putain de chose pendant vingt ans. Je n’ai même jamais voulu peindre l’horreur, j’ai toujours été plus intéressé par la science-fiction mais je ne pouvais pas peindre la bête dans des vaisseaux spatiaux.
J’avais l’habitude de peindre d’étranges vaisseaux spatiaux (ils sont fabriqués par des aliens n’est-ce pas ?), puis les directeurs artistiques ont voulu quelque chose peint par quelqu’un d’autre et ont dit « les vaisseaux spatiaux ne ressemblent pas à ça… ils ressemblent à ». J’ai réalisé que l’illustration de science-fiction n’était pas aussi créative ou originale qu’elle semblait de l’extérieur. Alors je suis parti pour essayer de faire des pochettes d’albums à la place.
D’où est venue l’inspiration pour les diverses formes d’Eddie ?
Derek Riggs : Les différents looks d’Eddie sont souvent dérivés de la direction que le groupe veut prendre à un moment donné. Une année, il était égyptien, une autre année, science-fiction, etc. Habituellement, les détails ont été de mon fait. Ils m’ont juste donné une direction puis m’ont laissé faire avec. La plupart du temps, le reste du contenu était mon idée, même si parfois ils avaient des idées pour le contenu d’une peinture, comme la pochette de Piece of Mind qui était l’idée de Steve. Pour un grand nombre d’autres trucs, les détails entre autres, j’avais l’habitude de faire à mon idée. Parfois, je m’ennuyais et je le changeais, pour avoir quelque chose à faire.
Quelle est votre représentation favorite d’Eddie et pourquoi ?
Derek Riggs : J’aime bien The Clairvoyant, car il est si complètement fou. Je ne l’ai pas envisagé comme ça, la chanson était sur la clairvoyance (voir dans l’avenir). J’ai commencé avec l’idée de quelque chose comme le dieu romain Janus qui, je pense, a deux visages, et puis je lui ai donné trois faces (passé, présent et avenir) mais je ne pouvais pas reconstituer son visage lorsque sa bouche était ouverte, donc en désespoir de cause, j’ai enlevé ce qu’il y avait entre le bas et le mâchoire supérieure (ses joues) et il semblait tellement en colère que je l’ai laissé comme ça.
Vous avez été cité disant que le dessin pour Eddie était basé sur des séquences d’une tête décapitée que vous avez vues dans un documentaire télévisé sur la bataille de Guadalcanal pendant la seconde guerre mondiale. Est-ce exact ?
Derek Riggs : Non, ce sont des sottises. Je n’ai jamais été cité pour ça parce que je n’ai jamais rien dit de tel. C’est une fausse citation. De plus, d’un point de vue factuel, c’est complètement faux.
Je voulais peindre l’image d’une silhouette semi-squelettique, en décomposition, dans les rues de Londres. J’avais besoin d’une source pour dessiner parce que je ne savais pas vraiment comment une tête humaine se décompose.
Alors je me suis souvenu d’un montage photo que j’avais fait dans les années 70 quand j’étais à l’école. Une partie du montage était une photographie d’une tête en décomposition qui était collée à un char. Elle venait du magazine Time et était légendée comme la tête d’un soldat américain qui avait été coincé sous un tank vietnamien. Des années plus tard, j’ai trouvé cette même photo dans la collection de Time Photos. Elle était légendée comme étant la tête d’un soldat anglais coincé sous un char nazi. Donc maintenant je doute que ce soit autre chose que de la propagande de guerre. Quoiqu’il en soit, j’ai utilisé cette photo comme référence pour peindre la tête du monstre.
Eddie n’a pas été inspiré par la photo ; j’ai utilisé la photo comme référence pour la peinture. La peinture a été inspirée par le mouvement punk rock anglais à la fin des années 70. Ils avaient ce genre de philosophie de rue à propos de la jeunesse qui gaspillait son temps. C’était une tentative pour représenter visuellement cette idée. Mais je ne pouvais pas la vendre aux punks, elle leur faisait trop peur.

Pensez-vous qu’il a bien vieilli ? Est-ce que le Eddie d’aujourd’hui est aussi puissant et impérieux que ceux du passé ?
Derek Riggs : seulement ceux que je peins. Ceux faits par d’autres personnes sont un peu boiteux. Ils disent tous qu’ils peuvent peindre mais quand il s’agit de le faire, ils échouent. C’est parce qu’ils parlent pour parler, mais je suis le seul qui peux le faire. J’ai parcouru tout le chemin aller et retour et je suis encore debout (mais juste un peu, et mes pieds sont très douloureux).
J’ai vendu plus de photos que Walt Disney de marchandises. L’un dans l’autre, Eddie se vend mieux que Mickey Mouse. J’ai vendu plus d’affiches que le président des États-Unis pendant une année électorale.
Beaucoup d’idées « originales » de Fantasy que vous voyez dans les films et à la télévision ont été volées directement sur mon site Web et dans mes travaux publiés. Je pensais à un truc et aussitôt quelqu’un le volait. Je suis un peu fatigué de voir mes idées utilisées par d’autres personnes qui n’ont pas leur propre créativité, juste un gros budget pour un film. Hey, donnez-MOI le gros budget du film et voyez ce qu’il se passe. Et arrêter de piller mon site Web. Voleurs.
A quoi ressemble Eddie en tant que goule ? Lui avez-vous attribué une personnalité ?
Derek Riggs: Ecoutez, Eddie est une peinture. Il ne possède pas une personnalité, il ne mange pas, ne dort pas, ne grogne pas ni ne mord. Il ne croit en rien, il n’est ni pour ni contre quoi que ce soit. C’est une peinture … OK ?
Quelles sont les plus grandes fausses idées à propos d’Eddie ?
Derek Riggs: Qu’il est une vraie personne avec une personnalité. Que je suis en quelque sorte comme ça, que c’est mon alter ego. Eh bien, il ne l’est pas. C’est juste une peinture que j’ai fait un jour et qui me colle à la peau. Il me suit presque partout comme le monstre de Frankenstein. Et vous pensez que vous avez des problèmes avec harceleurs.
Vous avez arrêté de travailler pour Iron Maiden il y a quelques temps. A-t-il été difficile de lâcher votre création ?
Derek Riggs : Non, au moment où j’ai arrêté de travailler pour Maiden, j’en avais assez de peindre Eddie de toute façon. Je voulais vraiment faire quelque chose d’autre. J’aurais pu faire un scandale sur les droits mais je voulais plus le peindre et je ne pouvais l’utiliser pour rien d’autre. De plus, il faisait partie du coeur de Maiden et ce n’est pas dans ma nature de provoquer des dommages aux gens de cette façon. Je l’ai donc laissé et je suis parti. J’ai fait beaucoup de chemin. J’ai fait quelques images pour eux récemment, elles semblent être bien reçues par les fans, donc nous allons voir comment les choses se passent.
Avoir un pistolet pointé sur vous à Sao Paulo est une perspective effrayante si vous n’êtes pas en train de marcher dans la rue avec le guitariste d’IRON MAIDEN Janick Gers, et que celui qui tient l’arme n’est pas un chasseur d’autographes… mais un policier.
« Je suis un flic« , dit l’homme, riant et faisant apparaître un pistolet.
Il est arrivé quelques secondes plus tôt jusqu’à Gers et l’équipe de production de Revealed dans une voiture banalisée dans une ruelle de la plus peuplée – la plus dangereuse – des villes du Brésil.
« Je veux une photo. Je suis de la police« .
Après avoir fouillé dans sa sacoche pour montrer sa carte d’identité, le policier, apparemment pas en service, propose une veste de motard en cuir rouge que Gers signe consciencieusement avec un stylo bleu. Le fan excité secoue la main de son héros.
« Il va arrêter les gens au concert« , s’esclaffe Gers.
Voilà comment est la vie pour Iron Maiden en Amérique du Sud, un foyer de fanatiques de Maiden.
« En Amérique du Sud, c’est à la limite de l’hystérie« , explique Adrian Smith, un des trois guitaristes du groupe. « Nous sommes arrivés ici à l’hôtel hier et il y avait 2 300 personnes en train de hurler. Ils ont crié ainsi jusqu’à peu près minuit hier soir. Je pouvais les entendre chanter Maiden, Maiden« . « Je me suis réveillé tard aujourd’hui et je suis sorti prendre un café parce que je ne pouvais pas avoir de service de chambre. Je ne voulais qu’une tasse de café« . « C’est une sorte d’amusement pour nous« , ajoute-t-il, « mais j’ai presque pitié de ces gens, vous savez ce genre de célébrités qui ne peuvent aller n’importe où, assiégées tout le temps à leurs hôtels dans le monde entier, ça me rendrait fou« .
Il est très étonnant qu’après trente ans sur scène et des millions d’albums vendus, les membres du groupe Iron Maiden profitent d’un niveau d’anonymat inédit dans cette scène musicale des temps modernes. Ça leur permet de ne pas avoir à courtiser la presse et le seul visage qui soit jamais apparu sur les pochettes des albums est celui d’Eddie, une figure macabre qui a commencé sa vie sous forme d’un maque de théâtre*.
« C’est la plus scandaleuse et la plus grande rock star qu’il y ait jamais eu« , dit le chanteur d’Iron Maiden, Bruce Dickinson. « Et c’est bien parce que nous n’avons pas besoin de l’être. Nous pouvons juste nous concentrer sur la façon de faire ce que nous faisons. La vérité est qu’aucun d’entre nous n’est en réalité intéressé par les trucs des rock stars. Nous sommes très heureux que les paparazzi nous trouvent tout à fait, tout à fait inintéressants« .
Iron Maiden a commencé sa vie dans les quartiers de l’est de Londres en 1975. Le bassiste Steve Harris a rassemblé un groupe de musiciens dans le même état d’esprit, il y avait déjà le guitariste Dave Murray. Ce n’est qu’après plusieurs ruptures et une interruption temporaire que le line-up actuel a été mis en place.
Le groupe a sorti deux albums – Iron Maiden (1980) et Killers (1981) – avant que Bruce Dickinson ne remplace Paul Di’Anno au poste de chanteur.
Le premier album de Dickinson avec le groupe – The Number of the Beast (1982) – est arrivé au sommet des charts anglais. Le batteur Nicko McBrain a rejoint le groupe en 1983 et un nouvel album est sorti Piece of Mind. Powerslave a suivi en 1984, après quoi Iron Maiden ont embarqué sur une des plus grandes tournées de l’histoire de la musique, le World Slavery Tour.
Beaucoup d’albums ont suivi avant que Janick Gers rejoigne le groupe en 1990, remplaçant Adrian Smith, parti poursuivre d’autres projets. Le chanteur Bruce Dickinson a également quitté le groupe en 1993 pendant plusieurs années mais est revenu en 1999 avec Adrian Smith pour ressusciter l’ancien – et actuel – line-up.
« Nous sommes tous un peu bizarres … un peu excentriques pourrait-on dire« , dit Dickinson, qui tente d’expliquer la longévité du groupe. « S’il n’y avait pas eu Iron Maiden, aucun d’entre nous ne se serait rencontré ; nous venons tous d’horizons différents, de lieux différents, d’endroits différents. Et nous sommes ensemble et ça fonctionne parce que la seule chose qui nous réunit c’est Iron Maiden. C’est vraiment comme une famille« .
Ce sens de la famille s’étend à leur équipe et aux légions de fans, qui ont tous découvert le groupe par le bouche à oreille et, dernièrement, par Internet.
« Iron Maiden n’a jamais été relayé par les radios ou les TV ou les formes conventionnelles de médias sur lesquelles s’appuient les autres groupes de musique« , dit Sam Dunn, un réalisateur de documentaire et un fan de Maiden qui est en train de faire un film sur la tournée Somewhere Back in Time du groupe. « Je pense que pour les fans c’est ce qui est le plus spécial. Que la communication ait toujours été comme ça et que c’est une communauté de fans, et nous ne comptons pas sur les grands groupes de médias pour nous dire quelle musique nous devons écouter, nous l’écoutons parce que nous le voulons« .
Le lendemain de l’incident du pistolet, Iron Maiden ont joué au Palmeiras Stadium de Sao Paolo. 45 000 personnes ont bravé la pluie pour entendre les tubes des années 80 du groupe : Aces High, 2 Minutes to Midnight, et la ballade épique de 14 minutes, Rime of the Ancient Mariner.
« On est en 2008 et Iron Maiden font les plus grands concerts qu’on n’aurait jamais pu imaginer, et je pense que cela surprend le groupe et surprend les fans« , dit Sam Dunn. « Je pense que l’opinion générale est qu’Iron Maiden est un groupe des années 80, vêtu de spandex avec des cheveux longs et gras, et clairement ils ont parcouru un long chemin depuis, grâce à Dieu« .
Kerrang
A l’époque où les fans les plus âgés de Maiden ont froncé le nez quand Blaze Bayley a été annoncé comme le remplaçant de Bruce Dickinson, une nouvelle génération de futurs fans étaient encore, littéralement, dans les couches. Et donc, pour s’assurer qu’il n’y a absolument aucune raison pour eux de ne pas chanter ces classiques aussi fort que les hommes assez âgés pour être leurs pères, on leur permet aujourd’hui et pour la première fois d’écouter les titres en ligne, avant d’acheter la version complète. Que ceux qui possèdent l’ensemble des titres des années 80 de Maiden ne s’inquiètent pas, ils ne ratent aucune exclu. Tout cela est disponible ailleurs.
Mais la charge de The Trooper ne deviendra jamais obsolète. Pas plus que la triste intro de Hallowed Be Thy Name, ou l’excitation incomparable qui vous prend lorsque démarre The Number Of The Beast. Ce sont toutes des choses évidentes, et vous ne trouverez pas un Alexander The Great or Sunlight and Steel (ndt : nous avons conservé la coquille de l’article d’origine), mais ce n’est pas le sujet ici. Ces titres sont l’essentiel d’un concert d’Iron Maiden, et faire en sorte que tout le monde y soit préparé est le meilleur moyen de garantir un maximum de plaisir à tous ceux qui sont concernés.
Rock Sound
Les chances de vous envoyer en l’air sur une chanson d’Iron Maiden sont nulles. Si on ne peut nier que Maiden sont vraiment le plus grand groupe de métal que le monde ait jamais vu, les chances de séduire avec The Trooper ou Run To The Hills sont minimes. Si vous avez réussi, Rock Sound veut savoir comment. Et c’est la seule chose à propos de Maiden, parce que nous sommes sûrs que même COF ont obtenu quelques instants orgasmiques ici et là.
L’autre chose unique est qu’ils ont réussi à sortir une autre compilation ! Offerte d’une manière spéciale (vous pouvez la télécharger gratuitement et l’écouter trois fois avant de l’acheter définitivement, si vous aimez ce que vous entendez), cette compilation se concentre sur les premières années (et pour beaucoup, la setlist définitive de Maiden) et elle est commercialisée pour les fans les plus jeunes qui ne connaissent pas le catalogue passé. Les chansons sonnent bien (mais on le savait déjà), et nous savons que vous ne ferez jamais l’amour sur 2 Minutes To Midnight – mais si vous n’avez pas ces chansons sur votre iPod, au moins maintenant vous avez la possibilité d’avoir des morceaux de choix sans trop d’embarras. Profit ou marketing intelligent, il est vraiment difficile de s’ennuyer avec des titres comme Powerslave et Aces High.
Classic Rock
Il n’y a pas beaucoup de groupes qui pourraient s’en tirer avec la publication d’une quatrième compilation, sans être fermement décriés et traités de bâtards voleurs d’argent, mais Iron Maiden ont pris l’habitude de plier les règles pour les adapter à leur propre illustre marche en avant. En fait, c’est un témoignage de l’endurance de ce groupe et la justification officielle de Somewhere Back In Time sonne raisonnablement juste.
Ce n’est pas la plus essentielle des collections pour ceux qui ont vécu et respiré ces chansons depuis deux décennies ou plus, mais une introduction aux titans du métal britannique pour les arrivants des dernières années dans la cause pro-Maiden, pour leur permettre de conquérir tout le catalogue des années 80.
Lorsqu’on regarde le moyen de livraison choisi – ces 15 titres seront disponibles au téléchargement gratuitement dans un format audio de haute qualité ; le seul inconvénient étant que les fichiers expireront au bout de trois écoutes – il est clair que le camp Maiden se déplace simplement avec le temps et reconnait l’évolution des besoins de ses fans, tout en faisant peu de dommages à sa réputation de s’occuper des fidèles.
Il s’agit en grande partie d’une sélection de leur setlist actuelle, […] pour la plupart des hits de Maiden des dix premières années, en plus d’une poignée des meilleurs morceaux des albums studios.
Des hymnes intemporels qui font toujours monter l’adrénaline et durcir les nerfs après toutes ces années ; tout, de la version Aces High du Live After Death jusqu’au titre de clôture des concerts Hallowed Be Thy Name continue d’exsuder cet indéfinissable « truc » qui a longtemps permis à Maiden de se démarquer aussi bien de leurs pairs que de leurs prétendants.
Et si vous n’êtes toujours pas convaincus qu’il y a une nécessité à l’existence de cette compilation, essayez de vous imaginer comme un acnéique de 12 ans qui découvre Maiden pour la première fois, démarrant The Trooper, The Number Of The Beast ou Powerslave et gagnant une entrée gratuite dans l’affirmation de la vie, le monde magique de Iron « fucking » Maiden. Pas de retour en arrière.
Metal Hammer
C’est plus qu’une collection de titres de la première décennie d’Iron Maiden. Si ce n’étaient que les 15 titres proposés ici, alors oui nous pourrions dire qu’il s’agit encore d’une autre compilation pour capitaliser sur une tournée. Non, ceci est de l’histoire. La vôtre. La nôtre. Celle de tous ceux qui sont dans le métal. Il s’agit des origines de la plupart de ce que nous écoutons aujourd’hui.
Oui, certains de ces titres ont été repris dans Edward The Great il y a 6 ans, mais il y a quelque chose d’électrifiant à entendre le célèbre discours de Winston Churchill précédent encore une fois Aces High. Il y a quelque chose de triomphant et de patriote (dans le sens du métal) dans 2 Minutes To Midnight, The Trooper et Run To The Hills. Et il y a quelque chose d’apocalyptiquement révérenciel dans Powerslave, Hallowed Be Thy Name et Children Of The Beast (ndt : nous avons conservé la coquille de l’article d’origine).
Vous connaissez chaque note.
Des titres comme Phantom Of The Opera, Iron Maiden et Wrathchild (les versions proposées ici sont toutes tirées du Live After Death) enverront tous ceux qui s’intéressent de loin au métal dans l’extase du riff. Et c’est bien le sujet. Ce que vous avez là est un rappel de pourquoi Iron Maiden sont devenus le plus important groupe de la planète dans les années 80 et pourquoi, encore une fois, ils ont conquis le terrain.
Pour ceux qui ont grandi avec ce groupe, Somewhere Back In Time est un souvenir de la prééminence de Maiden. Pour ceux qui n’ont pas encore ressenti la pleine explosion des Irons, c’est comme tourner au coin de la rue et réaliser que la magie devient réalité. Allez Twickenham !
Pour la première fois dans l’histoire de Billboard, le logo du magazine apparaît avec la police spéciale Iron Maiden.
Le magazine Billboard, l’hebdomadaire New yorkais très influent, « bible » de l’industrie musicale internationale, met Iron Maiden à l’honneur dans son supplément spécial du 17 mai (qui paraitra le 10 mai) en reconnaissance du succès continuel et croissant du groupe aux USA et mondialement.
Sur au moins 40 pages, le magazine Billboard donnera un aperçu de la tournée mondiale actuelle de Maiden, Somewhere Back in Time, du groupe et des personnes clés l’entourent, et de leur illustre histoire en tant que l’un des premiers groupes de scène mondiaux.
Prévu pour paraître la même semaine que la compilation Best of’ Somewhere Back in Time, le magazine attribue également à Iron Maiden l’honneur unique de montrer son logo en couverture dans la police caractéristique du groupe. C’est la première fois dans l’histoire du journal que celui-ci n’arborera pas son propre logo copyrighté sur sa couverture.

Note aux fans de Maiden : Billboard étant un magazine réservé aux spécialistes, il n’est pas disponible via les commerces habituels mais il est possible d’acheter cette édition très spéciale dès sa parution via le Billboard Store ou en envoyant un email à : BillboardDir@espcomp.com ou encore en appelant le service clients aux USA au 1-818-487-4582.
La nouvelle compilation d’Iron Maiden, plutôt destinée aux jeunes qui souhaitent découvrir le groupe qu’aux fans de la première heure, retrace la carrière d’Iron Maiden de 1980 à 1989 avec les titres suivants :

Rappelons qu’à partir du 12 mai, un lien sera mis à disposition pour télécharger gratuitement cette nouvelle compilation (WMA). L’album pourra être écouté trois fois – mesures de protection techniques obligent – sans limite de temps. Après quoi, il vous faudra l’acheter pour continuer votre écoute.
La bande annonce du nouveau documentaire intitulé « Global Metal », réalisé par Scot McFadyen et Sam Dunn — les réalisateurs du documentaire « Metal: A Headbanger’s Journey » – est disponible.
La sortie en salles de « Global Metal », dans lequel les réalisateurs nous mènent à la découverte de l’impact du heavy metal en Europe et en Amérique du Nord, est attendue pour la fin du printemps.
Le film suit des fans de métal à travers leurs périples, notamment lors de la première partie de la tournée mondiale 2008 d’Iron Maiden, Somewhere Back In Time.
Les Golden Gods, l’une des plus importantes remises de prix annuelle dans le monde du métal est de retour. La 6ème édition de la cérémonie du magazine Metal Hammer se déroulera le 16 juin prochain au O2 à Londres.
Iron Maiden font partie des nominés dans la catégorie Meilleur Groupe Anglais qui accueille également Bullet for My Valentine, Paradise Lost, Saxon et Judas Priest.
Parmi les autres catégories, on trouve celles de Meilleur Groupe de Scène, Meilleur Groupe International, Meilleure Vidéo, Meilleur Label Métal, Meilleur Album, Meilleur Nouveau Groupe, …
Selon le blog de Kevin Shirley, le producteur est entré en studio pour le mixage du documentaire de Scot McFadyen et Sam Dunn (Banger Films Inc.) qui ont suivi la première partie de la tournée mondiale 2008 d’Iron Maiden, intitulée Somewhere Back In Time.
Extrait du blog de Kevin Shirley :
6 avril 2008
"Je suis resté en studio toute la semaine pour mixer des pistes pour un nouveau film sur Iron Maiden qui vient juste d’être tourné sur leur très récent Somewhere Back In Time tour, au cours duquel ils ont circulé à travers la planète dans leur Boeing 757, jouant partout sur leur route ! Ça doit être bien…"
C’est l’unique objectif de Maiden Hollywood, une société à but non lucratif fondée le 7 mars 2008 par une fan de longue date, Cindy Santos, et basée à Irvine, en Californie, qui lance son site web officiel aujourd’hui.
L’organisation s’est donné pour mission d’immortaliser pour l’éternité Iron Maiden sur la Promenade de la Gloire (Walk of Fame) d’Hollywood, où figurent les noms de célébrités de l’industrie du spectacle honorées par la Chambre de Commerce de Los Angeles.

C’est une association auto-financée, Hollywood Historic Trust, qui s’occupe du Walk of Fame. Mais chaque personnalité qui voit son étoile posée sur le trottoir doit participer à une cérémonie d’intronisation et verser 25000$ à l’association. Ce sont en général les maisons de disques ou les studios de cinéma qui paient cette contribution.
Toutefois, Maiden Hollywood, qui n’a aucun rapport avec Iron Maiden ou le fan club officiel, ni même la maison de disques ou le management, a décidé de tenter de collecter les 25000$ nécessaires auprès des fans.
Sexy Intellectual/MVD Entertainment ont programmé la parution le 10 juin prochain d’un nouveau DVD intitulé « Iron Maiden And The New Wave Of British Of Heavy Metal » (Iron Maiden et la Nouvelle Vague du Heavy Metal Britannique).
Description du documentaire tirée du communiqué de presse :
« En 1976, personne ne savait vraiment qu’il y avait une vieille vague du heavy metal britannique. Mais, dans les deux années qui ont suivi leur formation, Iron Maiden sont devenus le fer de lance de ce qui a été abrégé en NWOBHM et, comme le punk l’année précédente, une nouvelle génération de musiciens de rock a plongé dans une nouvelle vague du genre et, au cours du processus, a fait d’un rock bruyant, cru et lourd le phénomène mondial qu’il est aujourd’hui.
Pour la première fois, ce film enquête sur cette nouvelle vague – les groupes, les disques, les médias et les séries d’événements sans rapport qui ont conduit à cette forme de musique étonnante, durable et toujours extrêmement pertinente que l’on écoute toujours aujourd’hui.

Axé sur Maiden et d’autres groupes pivots de l’époque, tels que Saxon, Samson, Praying Mantis, Diamond Head, Tygers of Pan Tang et beaucoup d’autres, ce DVD expose un style qui ne peut prétendre à autant de médiatisation que le punk, mais qui est aussi pertinent dans la musique du deuxième millénaire. Il comporte de rares images de l’ensemble des principaux groupes de la NWOBHM, des enregistrements en public et en studio de titres pivots, des sujets d’actualité rares et des archives du mouvement, de la façon dont il se déroulait au Royaume-Uni, des photographies rarement vues, beaucoup provenant de collections privées.
Il inclut également des interviews exclusives avec de nombreux acteurs majeurs, tels que Paul Di’Anno and Dennis Stratton de Iron Maiden, Brian Tatler de Diamond Head, Rob Weir de Tygers of Pan Tang, le légendaire batteur Thundersticks de Samson, Tino et Chris Troy de praying Mantis, le line-up actuel de Girlschool et beaucoup d’autres noms très médiatiques de la Nouvelle Vague du Heavy Metal britannique. On y trouve également des commentaires et des analyses de : Malcolm Dome (Kerrang, Classic Rock), Jerry Ewing (Metal Hammer, Classic Rock) Geoff Barton (rédacteur au Sounds pendant la Nouvelle Vague), Garry Bushell (journaliste du Sounds et défenseur de la NWOBHM), Neil Kay (DJ légendaire du Soundhouse club) et le journaliste métal et écrivain Joel McIver.«
[…]
Nous sommes partis en voiture et par le ferry boat, bien avant la date, histoire de se promener un peu dans les rues de Londres.
Arrivé la veille du festival, il y avait déjà une file de voitures trés impressionnante qui se dirigeait au même endroit que nous, à moins qu’ils aient fait une promotion dans une quelconque grande surface pas loin du festival….. Mais peu importe, ce que je sais, c’est qu’on y a passé quelques heures avant d’atteindre l’emplacement pour planter la tente. Il faisait une chaleur écrasante dans la voiture. Et en plus il nous fallait prendre les billets que le pote avait reservé par télephone, ce qui voulait dire, attendre encore. Mais quand on aime on compte pas….
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Nous avons passé la première nuit dans la tente, assez mouvementée je dois dire. Personne n’avait vraiment envie de dormir. Le lendemain fut très difficile par contre. Mais il fallait bien se bouger si on voulait pas louper le concert.
Il y avait déjà beaucoup de monde à attendre devant les grilles, mais le passage à la sécurité se passe assez rapidement.
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Et pour clôturer ce festival, IRON MAIDEN nous sort le grand spectacle, que ce soit en effets de lumières, feux d’artifice, un Eddie gigantesque avec des ailes de dragons,…. enfin du trés grand spectacle. Malheureusement pour nous, les fans, il a fait que pleuvoir, mais la chaleur qui se dégageait nous protegeait du froid.
La set list est la même qui est sur le double CD sortie sous le nom « live at Donington ».
« Be Quick or Be Dead », « The Number of the Beast », « Wrathchild », « From Here to Eternity », « Can I Play With Madness? », « Wasting Love », « Tailgunner », « The Evil That Men Do », « Afraid To Shoot Strangers », « Fear of the Dark », « Bring Your Daughter… To the Slaughter », « The Clairvoyant », « Heaven Can Wait », « Run to the Hills », « 2 Minutes to Midnight », « Iron Maiden », « Hallowed Be Thy Name », « The Trooper », « Sanctuary », « Running Free ».
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Retrouvez l’article intégral sur La part des ténèbres
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« No prayer for dying » fait partie des albums les plus critiqués par la presse et les fans. Je reconnais également que les morceaux de cet album ne sont et ne seront pas vraiment des classiques, même les clips vidéos tirés de ce dernier restent pauvres. Mais sur scène c’est autre chose.
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L’heure de IRON MAIDEN arrive, je me place donc au milieu et assez proche de la scène. Les lumières s’éteignent et au moment des premières notes jouées, je n’ai rien compris de ce qui s’est passé, il y a eu une vague géante dans la fosse, ce qui fait que quelques personnes sont tombées, complètement déséquilibrées par ce raz de marée humain, et en quelques secondes je me suis retrouvé complètement sur le côté…

Derrière la batterie se trouvait une pierre tombale géante qui éclatera en morceaux à la moitié du show, laissant apparaitre un « Eddie » géant gesticulant dans tous les sens. Nous aurons également le droit à notre « Eddie » se promenant sur la scène et jouant avec nos deux guitaristes. Ce qui nous permet également de voir la nouvelle recrue du groupe, je parle bien sûr de Yannick Gers le remplacant d’ Adrian Smith.
Ce gratteux bouge dans tous les sens, cours, nous fait des acrobaties avec sa guitare, saute comme une puce. Un fou quoi….lol
Dans l’ensemble un bon concert, malgré le son beaucoup trop fort. Mais lorsqu’il sagit pour moi, de voir IRON MAIDEN, j’ai du mal à dire qu’il s’agissait d’un mauvais concert….lol.
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Première partie : Lauren Harris

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